Walter Benjamin Commentaire

L’École de Francfort est le nom donné, dans les années 1960, à un groupe d'intellectuels allemands réunis autour de l'Institut de recherche sociale fondé en 1923, dont Theodor W. Adorno, Max Horkheimer, Herbert Marcuse, Jürgen Habermas et Walter Benjamin. A l'arrivée du parti nazi au pouvoir en 1933, l'Institut est fermé et ses membres sont contraints à l'exil. Adorno, Horkheimer et Marcuse partent aux États-Unis. Herbert Marcuse enseignera à Berkeley, en Californie. Après une escale à

spectateur qui peut reconnaître sur ces images – bien qu’elles ne soient ni datées, ni localisées – et, exceptionnellement à travers le son qui les accompagne, les conflits qui ont déchiré l’ex-Yougoslavie dans les années 1990. Par leur absence de commentaires et de récits, ces séquences brutes (raw footage) nous rappellent que les médias sont avant tout des espaces de discours et, prenant le contrepied du formatage et ne montrant que la banalité d’un conflit armé – un soldat qui manipule un mortier

de 1958 », Le Monde, 19 juillet 1958, in Comité national chargé de la publication des travaux préparatoires des institutions de la Ve République, Documents pour servir à l’histoire de l’élaboration de la Constitution du 4 octobre 1958. Volume V. Commentaires sur la Constitution (1958-1959), Paris, La Documentation française, 2001, p. 345. Il rappelle derechef que, aux yeux de constitutionnalistes étrangers, le système du cabinet réalise l’unité de la puissance d’État dans les chambres, si bien

une bataille d'adversité entre les philosophes d'une part et les journalistes d'autre part. Cette bataille ne fait que retarder la liberté de la presse. Les Etats-Unis influencent aussi l'Europe dans cette conquête grâce à des personnages tels que Benjamin Franklin ou Thomas Paine. Influence qui se verra concrétiser plus tard dans la Déclaration des Droits de l'Homme (« la libre communication de la pensée et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme »). 
 La Révolution marque en

"Cendrillon" et "Blanche-Neige," mais provenant aussi de mythes comme ceux d'Oedipe, d'Electre, de Narcisse et de Faust. La plupart des lit- téraires, cependant, écartant rapidement le commentaire psychanalytique surtout en rapport avec la romancière même, ont surtout analysé l'oeuvre dans une perspective féministe (voir Waelti-Walters) ou sociologique (voir Slama). Quarante ans après la parution de La Belle Bête, nous croyons qu'il importe de scruter ce livre en relation avec ce que l'on sait de la vie de

du passage, à faire et refaire l'inventaire de nos biens ? Embarrassés de nos avoirs et décidément incapables de sauter, les mains vides, dans l'inconnu du siècle qui vient ? Abordant l'avenir à rebours et, comme l'Angelus novus dont parlait Walter Benjamin, réduits à n'avancer qu'en jetant des regards désespérés vers l'arrière ? Notre fin de siècle qui ne se décline que sur le mode "post" ("postmodernisme", "postmétaphysique", "postindustriel") donne du crédit à cette hypothèse, qui révèle notre

enjeux des récits enchassés ˆ ´ III. Etude du personnage d’Horace Séance no 4 : Le portrait d’Horace de Beuzeval (extrait du chapitre VII) — Initiation au commentaire littéraire ´ — Etude du portrait d’Horace ´ IV. Etude des thématiques empruntées au roman gothique Séance no 5 : La découverte de Pauline (extrait du chapitre XI) — Initiation au commentaire littéraire ´ — Etude du registre fantastique ´ — Etude des influences du roman gothique Séance no 6 : Le chateau d’Otrante, les influences du roman ˆ

1958 », Le Monde, 19 juillet 1958, in Comité national chargé de la publication des travaux préparatoires des institutions de la Ve Répu- blique, Documents pour servir à l’histoire de l’élaboration de la Constitution du 4 octobre 1958. Volume V. Commentaires sur la Constitution (1958-1959), Paris, La Documentation française, 2001, p. 345. © P re ss es U ni ve rs ita ire s de F ra nc e | T él éc ha rg é le 3 1/ 03 /2 02 3 su r w w w .c ai rn .in fo ( IP : 1 90 .1 15 .1 75 .1 29 )© P resses

productivité, le flâneur s’exerce au déplacement pratiqué pour lui-même, pour le plaisir d’une promenade désœuvrée. Walter Benjamin a donné une description complète du flâneur, celui qui « va oisif comme un homme qui a une personnalité et proteste ainsi contre l’activité industrieuse des gens. » 102 9. Pierre Cabane, Les peintres de plein air, Paris, l’amateur, 1998, p. 9. 10. Walter Benjamin, Charles Baudelaire, Paris, Payot, 2002, p. 81. 28 La figure du flâneur prépare sans aucun doute de nouvelles

Tandis que l’héroïne de la « Beauté » « jamais ne pleure et jamais [je] ne ri[s] », cette statue-là sanglote, connaissant le mal existentiel, « parce qu’elle a vécu». Le poème dévoile clairement la mélancolie propre au poète qui, dans un de ses commentaires du beau, explique que la beauté réside justement dans une sorte, « de lassitude, même de satiété » et rajoute que l’« ardeur de vivre » est toujours associée avec une « amertume ».[219] En effet l’origine de la Beauté est dans la Douleur ou plus