War on Terrorism

roughlya third of the cost of the recent war in Iraq. […]The UN is dominated by the US, UK, France, Russia and China –whose military victory in 1945 was transformed into control ofthe Security Council – as well as countries, such as Japan andGermany, that have significant economic muscle. Of these, theUS and the European Union states place the most demands onthe UN.While these two may agree broadly on the threats that the UNshould be concerned with – such as terrorism, weapons of massdestruction, regional

reaction Context: Somalia is the model failed state. It has not had a good government since 1991 and has been plagued by waves of violence. Somalia's prolonged instability has created an opening for terrorist groups, such as Al Qaeda. Now, the terrorism has begun a huge threat. The moderate Islamic government of Sheikh Sharif Sheikh Ahmed cannot operate in the capital, Mogadishu, and urgently call again for international support. Besides, the piracy of the Somali coast has more than doubled in

Bruxelles, 2006, chapitre 33, pp. 509-523, intitulé « Combattants et statut de prisonnier de guerre ». SASSÒLI / BOUVIER/QUINTIN, pp. 217-229 (PG). Sur le régime de captivité des prisonniers de guerre, voir : FISCHER, H., ‘Protection of Prisoners of War’ in FLECK, D., (ed) Handbook of Humanitarian Law in Armed Conflicts, 2nd ed., OUP, Oxford, 2008, pp. 367–417. • DEYRA, M., Le Droit dans la guerre, § 314 à 346. • GENTILINI, M., avec la collaboration de J.-P. CABOUAT, A.-J. ROHRBACH et S. VIALE

l'unilatéralisme et réalisme des USA? La guerre en Irak menée par les États Unis est un sujet d'étude riche pour répondre à cette problématique. La guerre en Irak s'inscrit dans la global war on terrorism que George W. Bush a initiée en réponse aux attentats du 11 septembre 2001. Il faut préciser que le terrorisme islamiste combat l'influence occidentale dans le monde, et la remet donc en cause par ses attentats. Première contestation au modèle américain. La guerre en Irak débuta par l' " Operation

could escape the tumult at its own gates and thereby serve as the revolution’s most lucid and most passionate, because dispassionate, observer. Heine will remark, only half in jest, that Kant had in any case far surpassed Robespierre in intellectual terrorism: whereas the guillotine managed to kill off only a pathetic, fat king who had lost his head anyway, the axe of reason had slain deism itself throughout Germany. Schlegel will determine the French Revolution as the allegory 5 of an ‘‘other’’ 6—more

principe de la destinée manifeste : peut on vouloir le bonheur de quelqu’un contre son gré ? Baisse de confiance dans le système pol qui a mené cette guerre. Baisse des pv pol du Président qui doit demander l’accord du Congrès en cas de Conflit. => War Power Act (73). Selon Nixon l’équilibre de la Terreur est nécessaire. Il ne faut alors pas se laisser déborder par les avancées militaire et technologiques de l’autre. => hausse des budgets militaires et course à l’armement. Cette « Real Politic »

terroristes ou par des mafias, « défié dans son monopole de la violence physique légitime, mais aussi dans son aptitude à préserver et à contrôler la valeur des richesses nationales » 10 . La prolifération de menaces infra-étatiques, telles que le terrorisme ou le trafic des drogues, contribue à l’« érosion » de l’État. Les attentats du 11 septembre revitalisent cette vision de l’« État impotent », incapable de contrôler ces « enfants terribles » de la mondialisation. Tous semblent faire leur la métaphore

A l’horizon 2030, il est hautement probable que la culture s’imposera encore davantage comme critère 31 Voir à ce titre les considérations exposées sur les « stratégies d’influence » (Cf. infra). 32 Notons à cet égard que si aux Etats-Unis le terrorisme est perçu comme une menace, il n’en est pas de même pour la plupart des pays européens, qui l’assimilent à un risque. Par ailleurs, il convient d’établir une différenciation entre les groupes terroristes internationaux, type Al-Qaïda, et les mouvements

disproportionnés, avec l’utilisation massive de blindés et le recours systématique à des avions de chasse, puisque, de toute façon, les terroristes ne respectent rien ; qu’importe si les règles du droit humanitaire sont bafouées... La fin — l’éradication du terrorisme — justifie les moyens. Et l’ennemi est réduit à l’état de bête féroce qu’il est d’autant plus légitime de liquider qu’il constitue une « menace existentielle ». En décembre 2008, un porte-parole de l’armée israélienne interrogé sur les objectifs

chute. Le quatrième avion s’écrase en rase campagne à Shanksville, en Pennsylvanie. Le XXIe siècle débute ainsi, par cette attaque terroriste d’une ampleur inédite. En quelques heures, la face du monde a changé. La croisade américaine contre le terrorisme et les pays de l’Axe du mal débute. En 2004, la responsabilité d’Al Qaîda est établie par Washington. Fin 2001, Oussama ben Laden, le dirigeant du réseau terroriste, s’était félicité de ces attaques. Voilà pour la version officielle aux Etats-Unis