Waterloo Chateaubriand

catastrophique pour la France et pour l'Empire ; en 1813 la guerre contre la sixième coalition vit la France expulsée de l'Allemagne ; le 6 avril 1814 Napoléon abdiqua. Il tenta un retour en 1815 mais la déroute de l'armée française à la bataille de Waterloo contre les Alliés finit d'achever les derniers restes de l'Empire. À son apogée en 1812, l'Empire Français comptait 130 départements, déployait 600 000 hommes contre la Russie tsariste, régnait sur plus de 44 millions de sujets. L'Empire maintenait

qu’il est le véritable Jean Valjean, sous les yeux d’une Fantine mourante. Il est arrêté et est condamné à perpétuité au bagne de Toulon. II. Cosette, deuxième partie La bataille de Waterloo Mai 1861. Le narrateur raconte une visite à pied sur les vestiges de la défaite napoléonienne de Waterloo (visite que Victor Hugo fit en 1861, lors de son retour de l'Île d'Elbe sur les lieux même de la bataille de juin 1815). Ce jour-là, Napoléon affrontait les troupes anglaises et les forces coalisées

pour être celle qui a entamé la chute de Napoléon : la bataille de Waterloo. Nous verrons d’abord comment Stendhal met en valeur le contexte de cette bataille à travers le héros puis nous ferons une analyse du personnage de Fabrice et de la façon humoristique qu’utilise l’auteur pour nous le présenter dans cet extrait. Stendhal a une manière assez singulière de mettre en valeur le contexte historique de la bataille de Waterloo. Il commence tout d’abord par mettre en avant la bataille en elle-même

peu comprendrons son roman mais le peu sera heureux, on parle d'egotisme.) Cela peut expliquer que dans ses romans, le narrateur n'est jamais vraiment absent. Nous sommes dans le chapitre 3 de la première partie, qui raconte la célèbre bataille de Waterloo (Belgique) en 1815. Il conviendra de nous demander en quoi le point de vue du narrateur influence-t-il notre lecture ? Pour cela, nous verrons dans un premier temps que la scène historique est démystifiée, en analysant les références historiques

dans la France et le Paris pauvre du début du XIXe siècle. Son succès populaire tient au trait parfois chargé avec lequel sont peints les personnages du roman. • Les Misérables dépeignent ensuite, au moins trois grandes fresques : la bataille de Waterloo (qui représente pour lui la fin de l’épopée Napoléonienne, et le début de l’ère bourgeoise. Il s’aperçoit alors qu’il est républicain), l’émeute de Paris en juin 1832, la traversée des égouts par Jean Valjean. On peut aussi parler de roman épique

Azelma, du petit Gavroche et de deux autres garçons encore plus jeunes (on ignorera toujours leurs prénoms) dont le couple s'est « débarrassé » lors d'une sordide transaction. Le père est un ancien soldat devenu sergent et médaillé à la bataille de Waterloo, d'où le nom de son auberge., il se retira avec des honneurs suite à une fourberie. Javert,fils d'une bohémienne, dont le mari est aux galères, il est né en 1780 dans une prison. Plus grand, il décide d'entrer dans la police. Dans sa jeunesse, il

victoire met fin à la campagne d’Allemagne. La Prusse est conquise lors des batailles de Lena et d’Auerstadt . En 1809, la bataille de Wagram marque le début du déclin de l’armée Napoléonienne. En 1815,  suite à sa défaite lors de la bataille de Waterloo, Napoléon est exilé à. Saint- Hélène.    Un homme économique   En 1800, la Banque de France est créée. Le 27 mars 1803, une monnaie unique est crée : le franc germinal.    Un homme social   En 1801, il unifie le système des poids et mesures

grâce à la bataille des « cents jours » (bataille comprise entre le 1er mars et le 18 juin 1815) qui força Louis XVIII a fuir la France et a abandonné son pouvoir à Napoléon. Mais ce règne ne durera que cent jours par la défaite de la bataille de Waterloo le 18 juin 1815 par sous estimation des armées adverses, ce qui permet à Louis XVIII de revenir au pouvoir (juillet 1815). C’est la Seconde Restauration (juin 1815-1830). Louis XVIII règne jusqu’au 16 septembre 1824, puis son frère Charles

premier extrait, Candide, de Voltaire dattant de 1759 décrit les conditions dans lesquelles Candide s'en est sorti lors de la guerre contre les Bulgares. Le deuxième extrait, La Chartreuse de Parme de Stendhal, écrit en 1839, conte la Bataille de Waterloo vécue par le personnage de Del Dongo. L'extrait de Louis Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, de 1932, est l'objet du vécu du personnage principal durant la première guerre mondiale. Et enfin, le dernier extrait, La condition humaine de

esquisse de deux figures louches. Cette famille occupe un rôle clé dans le roman. En effet, on fait leur connaissance assez vite (en mai 1818 dans le Tome I, Livre IV) lorsque Fantine, la mère de Cosette, passe devant leur auberge « Au sergent de Waterloo » à Montfermeil. La famille est composée du père (né en 1773 ; en 1833, grâce au don de Marius Pontmercy, il émigrera avec sa fille Azelma aux Amériques où il se fera « négrier »), de la mère (sans doute née entre 1783 et 17891, décédée en 1832