Willy

désignant la nouvelle politique étrangère de Willy Brandt, chancelier de l'Allemagne de l'Ouest, décidée le 28 octobre 1969conduisant à l'abandon de la doctrine Hallstein, afin de mettre en place une politique de rapprochement et de détente entre l'Allemagne de l'Ouest, l'Union des républiques socialistes soviétiqueset ses alliés du Pacte de Varsovie. Elle est plus particulièrement théorisée et mise en place par le conseiller de Willy Brandt, Egon Bahr Willy Brandt en conférence de presse le 2 octobre 1969 à

intermédiaire étranger. Malgré le mur, qui est selon Kennedy « la démonstration la plus éclatante des échecs du système communiste », les « Ossies », continuent à émigrer, ce qui ne contribue pas à améliorer les relations entre les deux Allemagnes même si Willy Brandt souhaiterait inverser la tendance à la fin des années 60. Le phénomène s’accentue à la fin des années 80 notamment quand ils peuvent passer par la Hongrie, munis d’un visa de touristes. Symbole éclatant des difficultés du bloc soviétique, des

incontestable. Au début des années 60, la guerre froide régissait toujours les rapports interallemands, mais la Détente permit leur évolution. Depuis la Crise de Cuba en 1962, les relations américano-soviétiques s’étaient améliorées. Le chancelier Willy Brandt a voulu tirer parti de la détente pour rapprocher les deux Etats allemands. Pour rassurer l’URSS, la RFA de Brandt commença par conclure un traité de renonciation à la violence, le traité de Moscou du 12 août 1970. En 1971, l’accord quadripartite

Voornaam : ...................................................................... Naam : .................................................................................. O O O O Van Loo Kristien Vanloo Kristine Van Loo Kristine Vanloo Kristien Willy .................................................................................. © éditions Averbode, 2010 internet 2 Op één september ! écouter domaine (thèmes) grammaire Caractéristiques personnelles (nom, prénom) Relations avec les autres

mutilaient pour avorter, elles le faisaient seules avec des aiguilles à tricoter et des milliers en sont mortes et c’est toujours le cas dans certains pays. La plupart des médecins qui essayaient de les aider se faisaient condamner. Ce fut le cas de Willy Peers, qui s’est battu pour faire accepter l’IVG en Belgique. Aujourd’hui, on peut avorter en sécurité grâce à la loi votée en 1990 (en Belgique). Pour éviter ce retour en arrière, je suis donc pour le fait d’autoriser les IVG. Ensuite, un foetus

à l’Est, libéral à l’Ouest. Bipolarité : Partage du monde entre deux puissances ( USA et URSS ) Détente : Apaisement des relations Est-Ouest à partir de 1962. Ostpolitik : Politique de réconciliation avec les pays d’Europe de l’Est menée par Willy Brandt, chancelier de la RFA. Course aux armements : Rivalité accentuée entre les Etats pour accroître leurs capacités militaires, notamment nucléaires. Théorie de la dissuasion : Théorie selon laquelle la peur de l’utilisation de l’arme nucléaire

Morlanwelz et à La Louvière, la gynécologue Françoise Kruyen s’est battue aux côtés de Willy Peers pour aboutir à cette loi. Une lutte difficile; elle a même évité de peu la prison. Et voilà que 20 ans après, ce droit est à nouveau remis en question... « Lorsque j’étais encore étudiante, l’avortement m’apparaissait comme quelque chose de vaguement monstrueux. J’étais résolument contre. Ma rencontre avec Willy Peers et ma pratique sur le terrain ont tout changé. Depuis, j’ai appris qu’il valait mieux

profite fortement à l’industrie automobile de Chine. Durant la seconde guerre mondiale la jeep Willys est utilisée par l’armée chinoise mais dès la fin du conflit, les Etas-Unis représentent le mal et la Chine se tournera vers des importations de modèles soviétiques. Parallèlement à la production, en 1955, Pékin débute l’importation des Gaz-69. Les Gaz-69 sont le modèle Soviétique identique à la Jeep Willys, laquelle avait été fabriquée de 1941 à 1945. Cette dernière est un véhicule permettant des

camps. La tension entre Etats-Unis et URSS est à son comble. Le 27 juin 1963, le président américain, John F. Kennedy effectue un déplacement à Berlin-Ouest. Il se rend au Mur de la honte en compagnie du très populaire bourgmestre social-démocrate, Willy Brandt, futur chancelier et prix Nobel de la paix. Il prononce alors un discours dans lequel il déclare en allemand: "Ich bin ein Berliner", "Je suis un Berlinois". Une citation, restée fameuse, qui fait savoir aux Soviétiques et au reste du monde

1972 : accords SALT1, limite nbre de missiles intercontinentaux que possèdent URSS & USA - Juillet 73 - aout 75 : conférence à Helsinki (CSCE) sur sécu et coopération en Europe. Accord sur respect droits de l’homme - Ostpolitik du chanceleir all Willy Brandt, rapprochement entre les 2 Allemagnes. Se reconnaissent mutuellement et rentrent à l’ONU