Wittemberg

Lucas Cranach le jeune (1515-1586) fut un peintre allemand de la renaissance fils de LucasCranach l’ancien, il est né a Wittenberg en 1515 et mort a Weimar en 1586.Son style est très proche de celui de son père, c’est un peintre proche des milieux humaniste et des princes de saxe. Il prospéragrâce aux différentes commandes qu’il reçut des puissants. Il aura plusieurs rôle politique et en même temps sera propriétaire d’un atelier de peinture qu’il recevra a la mort de son père en1553.Etant protestant

plus connu, c’était jadis celui du docteur quinquagénaire, peint ou gravé aux environs de 1532 — de même, amis ou adversaires ne s’intéressaient guère qu’au chef de parti, au fondateur d’église schismatique assis, pour dogmatiser, dans sa chaire de Wittemberg. Mais comment s’était formé ce chef de parti ? Comment constituée sa doctrine ? Personne qui se souciât vraiment de l’étudier. Il faut dire qu’on n’en avait pas de grands moyens. Luther pris par la lutte quotidienne, n’avait laissé de l’histoire

fin du Seizième Siècle. Une Réforme Contre. Or cela n'est pas complètement exact. Et pour plusieurs raisons : tout d'abord les nécessités d'une Réforme de l'Eglise avaient été réclamées bien avant que Luther n'affiche ses 95 points sur l'église de Wittemberg (voir l'article Réforme). D'autre part, l'Eglise ne dispose pas de moyens militaires suffisants pour s'opposer aux protestants (se rappeler du mot fameux de Staline au XXe siècle : "l'Eglise ?, combien de divisions ?"). Au seizième Siècle, la Papauté

pourquoi, selon Bennassar, à cette date, nous sommes encore dans la période médiévale et que d’autre évènements permettent de dire que nous sommes rentrés dans la période moderne : - 1517 : Luther expose ses 95 thèses sur les portes de la Chapelle de Wittemberg, ces réformes se propagent rapidement, Luther se fait des adeptes, la papauté s’inquiète. L’imprimé permet de diffuser l’information notamment dans les classes populaires. L’Europe est rapidement embrasée par les réformes. - 1519 : Cortes arrive

s'inspirer de la légende de Faust pour une œuvre littéraire fut Spies en 1587 avec le roman Le livre populaire. Faust, d’après le livre de Spies, est né à Roda, près de Weimar ; il est le fils de paysans pauvres et craignant Dieu, qui l’envoient à Wittemberg, auprès d’un oncle riche et sans enfant, pour étudier la théologie ; car « il montrait déjà une grande vivacité d’esprit et une grande envie de savoir ». Faust est reçu docteur. Mais bientôt « il met les saintes Écritures sous le banc », et il se

maisons n’ont presque plus de toit et on ne voit pas un arbre sur cette avenue connue autrefois pour sa ver- dure. Le métro de l’Uhlandstrasse fonc- tionne encore, malgré le trou que les bom- bes ont percé entre la Rankestrasse et la place de Wittemberg. Notre promenade est interropue par une femme en pantalons militaires qui agite un grand drapeau rouge. « Attention, nous crie-t-elle, on va faire sauter les rui- nes de la maison ». Nous sommes au coin de la Fasanenstrasse. Un bruit sourd

» . Il preche que le salut de l’homme dépend de la grâce de dieu et qu’il obtient par la foi seule et non par les actions humaines , ceci l’amène à critiquer violemment la vente des indulgences , en 1517 il affiche ses 95 thèses sur l’abbaye de Wittemberg . Le pape par sa bulle lui demande de se rétracter , il répond par un pamphlet violent , il jette la bulle au feu et est excomunnié . Charles Quint le cite devant la diète de Worms , où il refuse de se retracter il est mis au ban de l’empire

Wiedmann (Hambourg, 1593), et traduite en français sous le titre Histoire prodigieuse et lamentable de J. Faust, grand magicien et enchanteur, par Palma Cayet (Paris, 14 éditions de 1598 à 1674). Heumann a composé une curieuse dissertation sur Faust (Wittemberg, 1683). Quelques-uns ont pensé que Faust n'est autre que Johann Fust de Mayence, un des inventeurs de l'imprimerie, dont la vie aurait été défigurée par les contes populaires. Le Faust de Nikolaus Lenau « nous dévoile une quête de la Vérité

Église peu scrupuleuse, l’absentéisme des prêtre, leur mauvaise formation, la pratique répandue de la vente des messes et des indulgences (paiement contre l'effacement des péchés). M. Luther : en 1517 fait placarder sur les portes de l’église de Wittemberg les « 95 thèses » qui dénoncent les abus de l’Église. └> il est excommunié en 1521. = l'origine d'un christianisme différent : la Réforme (partisans) ou le Protestantisme (détracteurs) B- Une nouvelle fois : le protestantisme / la Reforme

commencent à créer des pôles de rivalités politiques et religieux : guerre de cent ans franco-anglaise (1337, fin en 1475, Traité de Picquigny), rupture de l’Europe chrétienne en 1517 (catholique/protestant) avec la publication des 95 thèses de Wittemberg (Martin Luther). Un monde multipolaire européen apparaît : opposition entre l’Europe du Nord et du Sud. Opposition politique, économique et spirituelle. (Max Weber : « L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme »). Ce monde multipolaire va