Władysław Szpilman

de l’objet d’étude : « Le biographique » et plus précisément l’écriture autobiographique : Jean-Paul SARTRE : Les mots. COLETTE : Sido. Michel LEIRIS : L’âge d’homme. Anne DUPEREY : Le voile noir. Annie ERNAUX : La place. Une femme. Wladyslaw SZPILMAN : Le pianiste. G. PEREC : W ou le souvenir d’enfance. Frank Mc COURT : Les cendres d’Angela. Nathalie SARRAUTE : Enfance. Jules VALLES : L’enfant. ROUSSEAU : Les confessions. Le Journal d’Anne FRANK. A. CAMUS : Le premier homme. Romain

voulant traduire une expérience humaine, va essayer de faire ressentir au lecteur ce que l’artiste a pu lui même ressentir auparavant. Nous pouvons prendre comme exemple le film Le pianiste de Roman Polanski, adapté du roman auto-biographique de Wladyslaw Szpilman. Ce film retrace l’histoire de ce dernier lors de la seconde guerre mondiale, un pianiste juif qui réussit à survivre grâce à la musique. Polanski a choisit de montrer des scènes particulièrement rudes du nazisme pour que le public s’imagine

inédite pour comprendre : Les services de propagande d'Hitler ont mis en scènes leurs victimes, dans l'enfer de leur quotidien. - «Le Pianiste», réalisé par Roman Polanski en 2001 L'histoire: Durant la Seconde Guerre mondiale, Wladyslaw Szpilman, un célèbre pianiste juif polonais, échappe à la déportation mais se retrouve parqué dans le ghetto de Varsovie dont il partage les souffrances, les humiliations et les luttes héroïques. Il parvient à s'en échapper et se réfugie dans les ruines

peine avant l'arrivée des Alliés, et son convoi sera le dernier à destination d'Auschwitz. Il n'en reviendra pas. Le ghetto : Roman Kramsztyk, un artiste qui fréquenta le Café Sienna du Ghetto, où il rencontra Janus Korczak et le pianiste Wladyslaw Szpilman, fit beaucoup de croquis dans le ghetto, dont une bonne partie a été perdue, avant d'être déporté et de mourir en 1942. Il y croque la misère et la dignité des habitants du ghetto de Varsovie. Roman Kramsztyk, Vieux juif avec enfants, vers

résistants, et avec sa grand mère, elle doit fuir Cote : R CAU ** ? Grinspan, Poirot-Delpech.- J’ai pas pleuré.- Pocket.- 189 p. Témoignage sur l’horreur des camps par une rescapée d’Auschwitz, déportée à l’âge de 14 ans.- Cote : R GRI ** ? Szpilman, Wladyslaw.- Le pianiste.- Pocket.-252 p. L’extraordinaire destin dd’un musicien juif du ghetto de Varsovie Cote : R SZP 4 L’après-guerre Les relations internationales jusqu’à la chute, du mur de Berlin (1989) La guerre froide/ la décolonisation/

Pitchipoï, Jean-Claude Moscovici* En 1942, l‘auteur avait 6 ans. Sa famille, d‘origine juive, fut arrêtée et dispersée, le narrateur et sa petite soeur furent transférés au camp de Drancy. (L’Ecole des Loisirs « Medium », 131 pages) Le Pianiste, Wladyslaw Szpilman * Septembre 1939 : Varsovie est écrasée sous les bombes allemandes. Le pianiste juif W.Szpilman va connaître pendant six ans le ghetto, l‘extermination des siens, l‘insurrection de Varsovie puis la destruction de la ville par les Allemands…

Simpson dans la mort Suspendue (roman autobiographique). La force mentale de Simpson est hors du commun et le sauve malgré des circonstances défavorables. Dans un autre registre on trouve des personnages aux mêmes qualités comme le pianiste de Wladyslaw Szpilman dont le héros échappe à la rafle du ghetto de Varsovie et est sauvé par un officier allemand qui admire sa virtuosité. Dans tous ces romans le dénouement est heureux et met la plupart du temps en valeur la force, le dévouement, le courage

les nuages de Chi Li mis en scène par Airy Routier, avec Manuel Blanc. Elle met en scène Dramuscules de Thomas Bernhard, Les Mémoires d’un fou de Gustave Flaubert (2000-2003), Musset-Chopin (avec Anne Plumet et Robin Renucci), Le Pianiste de Wladyslaw Szpilman avec Robin Renucci (jeu), Mikhail Rudy et Nicolas Stavy (piano, en alternance), présenté au Théâtre des Bouffes du Nord. En 2009, elle met en scène Vous Danser ? de Marie Nimier présenté au Dansoir dirigé par Karine Saporta. Elle collabore régulièrement

classe, au cours d’allemand, nous avons eu la chance d’accueillir en février un survécu du ghetto de Budapest, M. Sirtes, et de lire les livres Être sans destin d’Imre Kertész sur le camps de concentration et d’extermination et Le pianiste de Władysław Szpilman – ainsi, nous avons pu apercevoir de façon impressionnante la vie des témoins pendant la deuxième guerre mondiale. 9. Appréciation personnelle argumentée En lisant Les enfants de la liberté j’ai remarqué que ce roman est assez différent

ému par la cérémonie d’hommage annuel aux morts. Livres : LEVI, Primo. Si c'est un homme. Italie : Einaudi, 1958 GUENO, Jean-Pierre. Parole d'étoiles. France : Librio, 2007 WIESEL, Elie. La nuit. Roumanie : Editions de Minuit, 1958 SZPILMAN, Wladyslaw. Le pianiste. Fance : Robert Laffont, 1998 Article sur internet : GUILLOT, Christelle. Les justes. Disponible sur :http://www.weblettres.net/blogs/article.php?w=Surleschemins&e_id=5622 (consulté le 06/01/2014) MECHOULAM, Gérard. Les justes