Wolofs

sans distinction d'origine, de race, de sexe, de religion. Elle respecte toutes les croyances. La langue officielle de la République du Sénégal est le Français. Les langues nationales sont le Diola, le Malinké, le Pular, le Sérère, le Soninké, le Wolof et toute autre langue nationale qui sera codifiée. La devise de la République du Sénégal est : " Un Peuple – Un But – Une Foi ". Le drapeau de la République du Sénégal est composé de trois bandes verticales et égales, de couleur verte, or et rouge

2013 b. Les données géographiques Superficie : Capitale : Villes principales : Langue(s) officielle(s) : Langue (s) courante (s) : Monnaie : Fête nationale : 196 722 km2 Dakar Thiès, Kaolack, Ziguinchor, Saint-Louis, Touba Français Wolof, Diola, Malinké, Pular, Sérère, Soninké Franc CFA 4 avril (indépendance) c. Les données démographiques Population : Densité : Croissance démographique : Espérance de vie : Taux d’alphabétisation en % des plus de 15 ans : Religion(s) :

aucune langue locale, on pourrait supposer que les réponses que nous avons obtenues ne sont les réponses que de personnes parlant français, mais tel n’est pas le cas, à plusieurs reprises nous avons été aidés pour pouvoir traduire le questionnaire en wolof, en djola ou dans d’autres langues locales. L’enquête sur le terrain s’est déroulée sur deux jours, par jour cinquante (50) personnes ont répondu à nos questions. A la fin de la journée, nous avons rentré directement les résultats dans le logiciel

et à la 375e l'année suivante et au niveau du Sénégal elle était la douzième entreprise dans ce palmarès annuel. Le 1er janvier 2007 la société repart sur de nouvelles bases. Elle change de nom et devient SUNEOR une combinaison de SUNU (un mot wolof) qui signifie en français « notre » et d’Or qui veux dire un métal précieux. Aujourd'hui SUNEOR est le premier exploitant d’arachides au Sénégal et le leader mondial d’exportation d’huile brute et de tourteaux d’arachide, avec près de 200 000

on est sûr de n’oublier personne. Forme incluse, elle concerne de fait, toute la population de l’empire. Forcément on appartient à l’une des catégories citées. Elle concerne tous les clans, toutes les ethnies, qu’on soit peul, bambara, soninké, wolof, sérère ou baïnouck. Comme vous le savez, l’époque de Soundjata avait établi un système de Correspondance, d’équivalence entre patronymes après la conquête de La Sénégambie par Tiramaghan Traore. Je rappelle quelques Correspondances ou équivalences

(islam) et de l'esclavage (empire du Mali, de Ghana, du Songhay). Ces diverses organisations politiques, avec le contrôle provincial, système féodal, ou le contrôle central, système aristocratique ou démocratique, tantôt homogène à tous les niveaux (Wolof, Zulu), du moins sur le plan administratif et linguistique (Mosi, Bénin), ou rassemblant des ethnies diverses (royaume du Congo, empires soudanais, le Nupe), localisées (royaume Serer, Ewé, Borgu) ou couvrant de vastes superficies (Ghana, Mali, Mosi

faveur de la majorité des critiques —, alors se pose le problème de la géographie littéraire de nos pays. Dans le cas du Sénégal, qui occupe une position centrale dans la littérature africaine, le terrain de prédilection semble se trouver en pays wolof. Il existe des régions mortes à la littérature moderne; d'autres occupent une position à peine plus favorable. De même, il existe des pays africains où la production littéraire, l'intérêt du public pour la littérature africaine en sont au stade initial

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succès de ces recueils auprès du public.             Parallèlement à des compositions plus personnelles, beaucoup d’écrivains africains vont publier à leur tour des recueils de contes en français. Le Sénégalais Birago Diop nous transmet des contes wolof dans Les contes d’Amadou Koumba (1958), Les Nouveaux contes d’Amadou Koumba (1963) et Contes et Lavanes(1963). La critique a beaucoup insisté sur le remarquable travail de transposition littéraire de la tradition orale. Birago Diop est un styliste

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