Woodrow Wilson

MÉDIAS ET LA POLITIQUE ÉTRANGÈRE AMÉRICAINE : QUELS IMPACTS SUR LE CANADA ? » Conférence organisée par l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques de l’UQAM et par l’Institut canadien du Woodrow Wilson International Center for Scholars à Washington en partenariat avec le Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI) Montréal, 9 décembre 2003 Document préparé par Sébastien Barthe Frédérick Gagnon Karine Prémont 2

…et autres pays Commandants Raymond Poincaré Georges Clemenceau Ferdinand Foch H. H. Asquith David Lloyd George Douglas Haig Nicolas II Nicolas Nikolaïevitch Victor-Emmanuel III Vittorio Emanuele Orlando Luigi Cadorna Woodrow Wilson John J. Pershing Pierre Ier Ferdinand Ier Taishō Tennō Albert Ier Bernardino Machado Sidónio Pais Paul von Hindenburg Erich Ludendorff Erich von Falkenhayn Helmuth von Moltke François-Joseph Ier (1914-16) Charles Ier (1916-18)

dans les 30&prochaines minutes, mesdames et messieurs&: Je suis très fier de participer à cette cérémonie de l’American University, sous le patronage de l'église méthodiste, fondée par l’évêque John Fletcher Hurst et inaugurée par le Président Woodrow Wilson en 1914. Cette université jeune et dynamique a déjà exaucé les vœux de l'évêque Hurst en ce qui concerne l'étude de l'histoire et de l’administration publique, dans une ville vouée à façonner l'histoire et à diriger les affaires publiques. Pour

La gestion des conflits internationaux par la Société des Nations Le 8 janvier 1918, Woodrow Wilson présente son programme de paix en 14 points déjà avant la fin de la première guerre mondiale. Dans le dernier point, il parle de la nécessité de création d’une association générale des nations ce qu’elle va être la base de la création de la Société des Nations (SDN) étant prévue dans la partie 1 du Traité de Versailles signé le28 juin 1919. Les buts fondamentaux de la SDN étaient de faire

l'Etat-Major, sous la direction de Hindenburg et Ludendorff demande et impose lui même la parlementarisation du régime le 28 et 29 Septembre 1918. Hindenburg exhorte ensuite à Guillaume II de demander l’armistice selon les 14 points du président américain Wilson, et selon ces points, il demande un remaniement du gouvernement d’Herling, pour que l’exécutif soit le reflet de la coloration politique du Reichstag. Au bout du conflit, l'Allemagne a donc acquis son statut de régime parlementaire, tendant vers une

prééminence présidentielle et de prééminence congréssionnelle. En effet, comme les deux pouvoirs sont à priori à égalité il peut se faire que l’un ou l’autre soit à un moment donné plus fort que l’autre en raison de la situation politique. C’est Woodrow Wilson alors qu’il n’était pas encore président qui distinguera les deux formes de régime présidentiel que sont le gouvernement congressionnel et le gouvernement présidentiel. 2° Les déformations du régime présidentiel L’Amérique du sud va copier le

les tranchées, il réalisent l’égalité entre les deux peuples. 2. Revendication des tirailleurs: Emancipation pour tous Nous sommes égaux donc indépendants. “peuples opprimés Dans ses 9, le président des Etats-Unis, Quatorze Points Thomas Woodrow Wilson, pose en règle internationale le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes . Ce principe est défendu par la Société des Nations (SDN). Cette même SDN attribue des parcelles de l’Empire d’ottoman et des anciennes colonies allemandes aux vainqueurs

11/11/1918 met fin à cette guerre longue et meurtrière . Le traité de Versaille détermine les conditions de paix imposées par les vainqueurs aux vaincus ,les dispositions de ce traité sont très sévères envers l'Allemagne ainsi que les 14 points de Woodrow Wilson qui servent de base aux discussions menées à Versailles parmi les 14 points on cite : -Liberté de navigation sur les mers -Suppression de barrière économique -Évacuation de territoire russe -Rétablissement de la Belgique -Création

insurgés, ont ressemblé en pratique, par certains côtés, à une nouvelle forme d'impérialisme. « Principe des nationalités »[modifier] Ce principe émergea, en Europe, au xixe siècle et se prolongea au siècle suivant avec le président américain Woodrow Wilson dans sa fameuse liste des 14 points. Application en Europe du principe des nationalités[modifier] Ce principe se traduit, en Europe, selon deux tendances : Droit à l'unité : Unité italienne (avec l'aide de la France) Unité allemande (contre

continent et surtout ceux qui dirigent des programmes ou occupent des fonctions au sein de l’administration fédérale. C’est, d’ailleurs, l’avis d’un spécialiste en charge du programme Afrique, M. Howard Wolpe, directeur du programme Afrique au Woodrow Wilson Center for International Scholars de Washington. «L’accession de M. Obama à la Présidence aurait une énorme puissance politique symbolique sur l’ensemble du continent», a déclaré M. Wolpe au journaliste d’America.gov. «Le fait qu’un homme d’origine