Y A T Il Contradiction Entre être Libre Et être Soumis Aux Lois

abstraite (= vocation à s’appliquer à une série de cas indéterminée) et permanente (= aptitude à durer. Mais elle n’est pas perpétuelle). - elle est obligatoire. Règles impératives = nul ne peut en écarter l’application. Règles supplétives de volonté = elles s’imposent à défaut de volonté contraire des parties. - elle est sanctionnée par les autorités publiques. Sanctions civiles (nullité, action en responsabilité civile) ou pénale (pécuniaire ou corporelle). La sanction a une vertu prophylactique

Une société est faite d’individus, qui sont interdépendant et qui vivent grâce à ce que chacun produit. De plus, vivre en société permet de garder et entretenir ses caractéristiques humaines. Il est donc inenvisageable que l’humanité se passe d’une existence sociale car c’est pour elle une nécessité vitale. Or, les personnes d’une même société sont différentes et ces différences font que la société est porteuse de conflit. Des conflits, qu’elle ne peut pas régler seule, d’où pour le faire la nécessité

une limite ou une condition de notre liberté ? Introduction : On entre ici dans une réflexion d’ordre politique, c'est-à-dire une réflexion qui porte sur l’homme dans la société. Cela veut die que l’on est en train de quitter le point de vue individuelle pour rentrer dans le collectif. On va donc s’interroger sur la société, les lois, la justice, l’état… Société : Toute société n’est pas politique, une société ça peut être une entreprise, on parle aussi de société animal, on parle même de jeu

II.La question morale de la liberté ; liberté morale et délibération. La contradiction entre liberté et déterminisme nous est apparue inévitable dès lors que nous concevons le déterminisme comme absolu et de manière mécaniste. Si nous voulons expliquer les faits de la réalité et que nous cherchons à les expliquer par leurs causes, nous devrons de causes en causes remonter à l’infini.Or pouvons-nous jamais connaître empiriquement la totalité des circonstances déterminant

mot complexe : * légitimité d’origine se situe à un niveau supérieur, abstrait, moral, absolu. un régime politique est légitime quand l’origine du pouvoir & détention du pouvoir & transmission du pouvoir sont conformes à des postulats de la souveraineté royale ou de la souveraineté populaire – postulat qui peut même se fonder sur des dogmes qui relèvent de la croyance (droit divin, droit naturel). Un régime donné ne peut pas être légitime aux yeux de tout le monde exemple : une royauté

De par notre existence, nous obéissons. Avant tout aux lois physiques comme à nos besoins naturels, nous obéissons aussi inéluctablement tout au long de notre vie sociale à un Maître polymorphe. Cette entité supérieure à nôtre personne par sa sagesse ou son pouvoir, est tantôt le parent puis le professeur, mais aussi un chef, l’État ou encore la société ; avant, pour son ultime ordre, d’empoigner la faux. Sommes-nous pour autant condamnés à courber l’échine sous le poids du cours de la vie ? Une

ni restrictions. S’oppose | | |à relatif. | | |Qui possède en soi sa propre raison d’être, indépendamment de toutes conditions. | | |En ce sens, la métaphysique désigne l’être existant par lui-même, c’est-à-dire Dieu comme cause de soi. | |

Suffit-il pour être juste d’obéir aux lois et aux coutumes de son pays ? Cette question pose de nombreux problèmes. Premièrement, parlons nous ici de lois au sens des Nomoï grecques, c’est-à-dire à la fois lois positives, lois intérieures, et valeurs ? Parlons noux bien de coutumes au sens d’éducation ou des mœurs, des manières, des habitudes sociales, des conduites valorisées ou des modèles ? Ces lois, ces coutumes suffisent-elles pour définir la justice ? Deuxièmement, n'est-ce pas contraire à l'idéal

| |Traduit de l’Allemand en français par Victor Delbos (1862-1916) | |à partir de l’édition de 1792. | |

Emmanuel KANT (1785) Fondements de la métaphysique des mœurs Traduit de l’Allemand en français par Victor Delbos (1862-1916) à partir de l’édition de 1792. Un document produit en version numérique par Philippe Folliot, professeur de philosophie au Lycée Ango de Dieppe en Normandie Courriel: philippefolio@wanadoo.fr Site web: http://perso.wanadoo.fr/philotra/ Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://classiques.uqac.ca/ Une collection développée