Y A T Il De L Inconnaissable

Ce document est du domaine de l'apophatisme (théologie négative) qui consiste à nier ce que Dieu n'est pas. Le cogito de Descartes René Descartes, en raisonnant avec méthode et doute, parvient à la conclusion suivante : je pense donc je suis. La pensée, le langage sont corrélés avec l'être. Cette conclusion est semblable à celle que j'ai traitée dans la page sur la connaissance : le langage et l'être sont UN. L'être est le langage La définition ici de l'être est le sujet conscient et non les faits

La chose en soi chez Kant[modifier] La chose en soi est ce que Kant appelle un « concept problématique », c'est-à-dire que la chose en soi est un concept pensable ; ce concept est même indispensable pour assigner une valeur à notre connaissance et pour déterminer l'objet de la connaissance sensible, mais par l'usage de ce concept rien de son essence n'est vraiment connu. La chose en soi est une limitation de la connaissance et c'est ainsi qu'elle agit sur nos représentations, de manière négative

rappeler les acquis de la Critique de la Raison pure : les objets métaphysiques (Moi, le Monde et Dieu) sont inconnaissables. Mais ces idées de la raison ne constituent pas l’expérience humaine, elles ont pour autant un rôle de régulation car elles guident l’action humaine. Ces trois idées sont des postulats de la raison pratique, autrement dit. Bien qu’aucun d’entre elles ne se réfèrent à un objet de connaissance empirique, Kant soutient qu’il est raisonnable pour nous de les postuler comme des questions

Depuis des années, les philosophes à tenter de trouver des réponses aux questions fondamentales. L’une d’entre elle, sera d’une importance capitale pour les religions occidentales, celle-ci étant : Dieu existe-il ? Cette question propose plusieurs concepts tel que Dieu décrit comme un être supérieur, sacré, transcendant et infini. L’autre concept serait existe que je décrirais comme le fait d’avoir une réalité. Certain comme les théistes diront que oui il existe, tandis que d’autre, comme l’agnosticisme

LE SUJET I. La conscience et l’inconscient Le sujet humain Producteur de valeurs, il est la condition de possibilité de la morale, du droit, du politique. Il est défini par la pensée (Descartes). Il est inconnaissable (Pascal, Kant). Il est décentré (psychanalyse). Mais: il reste énigmatique. 1. La conscience : • « Je suis, j’existe » (Descartes) mais savoir que je suis ne me dit pas qui je suis (Kant). • L’ être humain se réalise comme sujet qd il devient conscience

Alliance conclue entre Dieu et le peuple hébreu. On appel Nouvelle Alliance celle qui a été renouvelée par Jésus. Athéisme : Nier l’existence de dieu. Agnostique : (Grec -> inconnaissable) De l’ordre des choses inconnaissables, avec une non-certitude. Bible : (Biblia ->les livres) Ensemble des textes contenant la Révélation divine pour les juifs et pours les chrétiens. Hérésie : Manière de penser qui va à l’encontre des dogmes (personnes développant cette pensée sont dits hérétiques)

s’agit d’identifier ses propres qualités ? Chacun est sans doute trop attaché à lui-même pour s’observer en toute objectivité – c’est ce qu’on appelle le narcissisme. Y a-t-il donc un privilège de la connaissance des autres ? Celle-ci, par nature, et en comparaison de l’autre, est-elle moins complexe, plus immédiate et plus objective ? On pouvait évoquer dans une première partie la théorie freudienne de l’inconscient : il y a une partie de nous-mêmes, qui sans échapper aux autres, ne peut pas devenir

individuelle permet d’accéder au monde à partir de l’expérience personnelle. Avec Hegel, puis les philosophes du XXème siècle, dont Husserl et Sartre, je b’existe que par l’expérience que je fais d’autrui, et réciproquement. 1) Autrui = alter + ego = l’Autre + moi-même  paradoxe. - Descartes : Rien n’existe en dehors de la conscience du sujet, tout se passe ds solitude du moi je suis seul ds ma tête et ne puis entrer ds conscience d’autrui  autrui = un autre semblable à moi par analogie. - Pascal

écrivait Martin Heidegger. Cheminement propre à chacun, et qui fraie sa voie entre deux mondes, l'impossible, dont le paradigme est la Chimère, et le nécessaire, dont Dieu est l'idée type : entre ces deux points, l'empan des choses possibles ; l'espace des contingences, autrement dit le support fragile et l'objet obscur de ma quête : connaître, embrasser l'étendue du monde, la recouvrir de mon savoir. Pourtant, le monde ne cesse de me confronter à ce qui déborde mon humanité, les limites de ma pensée

==Problème: peut-il y avoir un moi inconscient? qui ne s'apparaîtrait pas à soi même? Ne s'agirait-il pas tout simplement du corps et de son mécanisme? ==>"Le moi n'étant que le centre du champ conscientiel ne se confond pas avec la totalité de la psyché... il y a donc lieu de distinguer entre le moi et le soi, le moi n'étant que le sujet de la conscience, alors que le soi est le sujet de la totalité de la psyché, y compris l'inconscient. Jung. "Ainsi le Soi est infiniment plus vaste que le