Y A T Il Des Désirs Inconscients

Souvent assimilés à des énergies néfastes, les pulsions étaient synonymes d'échec social, de désordre, de mal être, de folie... Ainsi beaucoup on tenté de supprimer, de combattre ces pulsions. C'est par l'éducation que l'on pense les éradiquer: celle-ci serait intransigeante, sans liberté, avec l’apprentissage de codes sociaux très vigoureux. Parallèlement, Freud, médecin s'intéressant aux maladies psychiques, en particulier les névroses et les psychoses, suivra les cours du très grand médecin Charcot

Anna dans ses états d’absence, la jeune fille raconte l’histoire à laquelle se rattachent ces mots et le fait de l’exprimer fait disparaître tel ou tel de ces maux : il apparaît ainsi que ces symptômes sont liés à un choc psychique violent qu’elle avait dû surmonter, qui était resté ancré en elle et avait gardé un grand pouvoir dynamique : en exprimant « avec extériorisation affective » ce qu’elle avait dû refouler, elle revient à un état normal mais peu durable. Freud donne plusieurs exemples de

Sujet : L'existence de l'inconscient est-elle compatible avec la liberté? L'inconscient est l'ensemble des phénomènes psychiques qui échappent à la conscience lorsque notamment une ou plusieurs personnes prennent des décisions sans réfléchir se qui qualifie cet être d'inconscient. C'est pourquoi nous pouvons nous demander si « l'existence de l'inconscient est-elle compatible avec la liberté ? » Or, l'inconscient et la liberté sont opposés étant donner qu'il faut tout d'abord être conscient afin

lucide. - point de vue moral : « cas de conscience », « avoir bonne ou mauvaise conscience » : renvoie à ce que je vaux vraiment, conscience morale interdisant la mauvaise foi, nous sommes apparemment les mieux placés pour savoir si ce qu’on fait est bien ou pas. - point de vue psychologique : qu’est-ce qu’un être doué de conscience Point de vue cognitif : la conscience se réduit-elle à la pensée ? Point de vue moral : vu que la question de la conscience est morale, la conscience morale est-elle

L’homme est capable de choix et est amené à répondre de ses actes. Or, l’hypothèse de l’inconscient psychique avancée par Freud à la fin du 19éme siècle semble contester cette définition communément admise. Si l’inconscient me détermine, je suis comme étranger à moi-même, ma vie psychique ne se ramène pas à celle de ma conscience, et ma liberté semble escamotée. Cette remise en question, apparemment radicale de l’homme, à conduit certains philosophes à nier l’hypothèse freudienne, au nom de la liberté

Sujet : Sommes-nous responsables de nos désirs ? Chaque être humain recherche en permanence un objet qui serait source de sa satisfaction même la plus petite : le désir, qui n’est pas maîtrisable mais dont la fin est jugée bonne par l’homme. Il est certain que le désir fait partie de ce que nous sommes mais peut-on dire que nous sommes la cause de nos désirs ou que nous devrions les assumer ? En définitif, sommes-nous responsables de nos désirs ? C’est sur ce problème que nous ferons notre réflexion

sujet à nombre de controverses, que l’on considère qu’il n’est qu’une infime partie de notre ensemble psychique par rapport à la conscience elle-même ou au contraire que son rôle est primordial et indispensable à notre vie mentale, il n’en reste pas moins l’ensemble des forces primitives et actives qui interviennent dans la conscience à tout instant de notre vie. L’interrogation, qui nous est posée ici, pousserait à nous faire réfléchir sur une possible existence d’une pensée inconsciente, c’est-à-dire

FAUT-IL AVOIR PEUR DE L'INCONSCIENT? INTRODUCTION : BERGSON (1859-1941) écrit dans Matière et Mémoire " l'idée d'une représentation inconsciente est claire. En dépit d'un préjugé répandue, on peut même dire que nous en faisons un usage courant et qu'il n'y a pas de conception plus familière au sens commun". L'inconscient pour BERGSON, c'est un réservoir de perceptions et de souvenirs que le cerveau enregistre automatiquement au fil du temps et dont la conscience sélectionne ceux qui lui sont utiles

sexuelles et agressives, des restes de notre passé animal qui, non contrôlées, conduiraient à la destruction. Cette idée présentée au début du 1ère épisode "Happiness Machines", revient plusieurs fois au cours de la série, mais l’objet principal est d’expliquer « Comment ceux au pouvoir ont utilisé les théories de Freud pour contrôler une foule dangereuse dans un âge de démocratie de masse ». On s’intéresse alors à Edward Bernays, le neveu de Freud, fasciné par les théories de son oncle et les utilise

Freud a donné une première approche de l'homosexualité. Selon lui : - Pour la fille, l'homosexualité résulte d'une fixation infantile à la mère et d'une déception à l'égard du père. - Pour le garçon, l'homosexualité survient après la puberté, quand s'est instauré durant l'enfance un lien intense entre le fils et sa mère. Au lieu de renoncer à elle, celui-ci s'identifie à elle, se transforme en elle et cherche un homme qui puisse le représenter et qu'il puisse aimer comme il a été aimé par sa