Y A T Il Des Désirs Inconscients

Freud de cette notion Le transfert désigne, d'après le "Laplanche et Pontalis", "le processus par lequel les désirs inconscients s’actualisent sur certains objets dans le cadre d’un certain type de relation établi avec eux et éminemment dans le cadre de la relation analytique. Il s’agit là d’une répétition de prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué.” Désirs inconscients, prototypes infantiles... en effet, cette notion est bien étrange, surprenante, voire gênante, et de nombreux

On a l’habitude de penser que l’imagination découle directement de la mémoire comme la représentation d’un souvenir, d’une image. Ainsi du latin imago, l’imagination est alors la faculté de produire des images, voire même de les reproduire. Imagination et mémoire qui est l’évocation mentale d’expériences antérieures ont alors une dualité, celle de produire des images mentales. Mais les choses ne sont pas si simples, en effet on se rend compte que l’imagination est une faculté de l’esprit à part

libres et émanant de nous ne seraient que les répercussions d’une cause extérieure. Ainsi, une pierre consciente se mouvant sous l’effet d’une impulsion extérieure à elle, sera persuadée que son mouvement est due à son propre désir alors que que nenni. Une action ne peut sortir du néant comme un lapin d’un chapeau de magicien, tout a une cause, que l’on en soit conscient ou non. En exemple ; je bois, mais étais-je pour autant conscient

posent problème. L’hystérie d’aujourd’hui n’a rien à voir avec avant, les symptômes étaient beaucoup plus spectaculaires. La première chose que retient Freud : l’hystérie peut être entendu. Elle n’est pas d’origine cérébrale. Avec l’hypnose, les patients n’ont plus leurs symptômes (comme la paralysie …), c’est la preuve qu’il existe une solution, et que la cause de cette maladie est d’origine psychologique. Lorsque Freud revient à Vienne, il est mal accueillit. On lui demande des preuves

Analyse du sujet La question porte sur la possibilité effective ou non d’un mode d’accès sincère à la connaissance de soi-même. Est-ce que, lorsque je prétends savoir qui je suis, je peux envisager ce savoir sans duplicité, sans mensonge, sans flatterie ni complaisance vis-à-vis de moi-même ? Ou bien chacun de nous est-il condamné à n’avoir de savoir de soi que partiel en raison de sa tendance à se dissimule son authentique personnalité ? La connaissance de soi n’est pas la simple conscience immédiate

Quinze ans après avoir écrit « introduction à la psychanalyse », Freud nous fait part de ses avancées notamment en revenant sur la théorie des rêves dans le premier chapitre. Il traite également de la décomposition de la personnalité psychique (le Surmoi, le Ca, le Moi), de la vie pulsionnelle et de l’angoisse ainsi que de la féminité. Dès la première page du livre, nous comprenons bien que Freud s’adresse à un public d’amateur éclairé puisqu’il amène d’emblée le lecteur sur la question de l’interprétation

suis une fille ; je suis un élève ; je suis un animal parlant = une connaissance, un savoir Je suis à la fois à la meilleure place pour me connaître et à la pire. En effet, d’un côté personne n’est dans ma tête et personne ne vit ma vie (si je veux caché quelque chose l’autre n’en saura rien) mais d’un autre côté, c’est la pire place possible puisqu’elle interdit toute objectivité. On ne peut à la fois être acteur et spectateur de sa propre vie. Chacun affirme son individualité, son unicité mais

INTRODUCTION Alors que SOCRATE invite résolument à faire du « connais-toi toi-même » inscrit au fronton du temple de Delphes, un principe fondamental de notre vie, le philosophe allemand NIETZSCHE(1844-1900) estime qu’il s’agit d’une expérience impossible dont l’évocation n’est que plaisanterie.Très vite, la question de la connaissance de soi et, par suite de l’autre, glisse vers le débat sur la nature de l’homme. L’homme, en réalité, est-il un être dominé par la conscience ou au contraire un

? I°/Pourquoi n'accordent-on pas la conscience aux animaux ? A- La nécessaire médiation du language (Texte de Karl Popper) B- Comment devient-on conscient ? (Texte de Hegel) II°/La pensée est-elle une émanation de la matière ? A- Que signifie l'expression :»Le cerveau pense» ? B- Peut-on distinguer l'esprit du corps ? III°/Peut-on se connaître soit même ? A- La question de l'identité B- Qu'est-ce qui échape a notre conscience ? Conclusion: Qu'est-ce qu'exister ? Introduction

phénomènes psychiques pendant le sommeil ». Tiré d'un dictionnaire, cette définition apparaît assez rationnelle. Peut-être trop. Car le rêve, n'est ce pas aussi une certaine construction de l’imagination, une pensée qui, à l'état de veille et non de sommeil, cherche à échapper à la réalité ? C'est cette idée qui est reprise ici dans notre corpus. En effet, Rousseau le premier évoque dans ses Rêveries du Promeneur Solitaire au XVIIIe le rêve, et plus particulièrement le rêve éveillé. Cette notion