Yankees de New York

visage qui nous rend à la dure passion de naître notre pays c'était si loin entre Baffin et les Grands Lacs entre la Baie d'Hudson et les monts Notre-Dame cette chair vive et sourde-muette d'un faible et grand oiseau crucifié sur l'Amérique des yankees je verrai le visage du feu sourdre au terroir de nos jurons fendre les portes barricadées de nos nuits je le verrai d'un coup s'abattre contre nos visages et fouiller à fond nos veines rendre nos corps intacts à la fougue jumelle du fleuve et

connotation péjorative, de telle sorte qu'à peu près personne, en France, à part les militants d'extrême-droite, n'accepte de se dire nationaliste. Il y a quelques années, lors d'un colloque intitulé « Idéologie et nationalisme », organisé par l'Université York de Toronto, un professeur français qui devait traiter du gaullisme se disait fort embarrassé en face du sujet qu'on lui avait confié. « En effet, déclarait-il, le gaullisme n'est ni une idéologie ni un nationalisme ». Sans doute ce professeur pouvait-il

stupide. Je devrais considérer ça comme un événement unique, l’une de ces situations inattendues que personne ne peut vraiment expliquer. Comme les cercles dans les champs de maïs. Ou cette femme qui s’est pris une balle mal lancée à un match des Yankees et qui, quand elle a été se faire soigner, a découvert qu’elle avait une tumeur et, si ce n’était pas arrivé, elle serait morte. — Bien, dit Jocelyn d’un air satisfait. — Mais…, commencé-je en jouant avec une feuille de salade. — Mais quoi ? siffle

Célestine De Benjamin Renner, Vincent Patar et Stéphane Aubier (Fr-Belg, 1h20) animation. Sortie le 12 décembre EN DEHORS D’ERNEST ET CÉLESTINE, DÉCEMBRE EST AUSSI LE MOIS DU JEUNE PUBLIC AU CINÉMA : PROGRAMMES DE COURTS MÉTRAGES, BLOCKBUSTERS YANKEES OU FILM CULTE, UNE SÉLECTION JOYEUSEMENT HÉTÉROCLITE. CC Deux mastodontes américains font figure de rouleaux compresseurs pour les vacances de Noël en matière de cinéma jeune public. D’abord Les Cinq légendes signé Peter Ramsey, mais qui

Nebraska, aux États-Unis. En ma qualité de professeur-suppléant au Muséum d’histoire naturelle de Paris, le gouvernement français m’avait joint à cette expédition. Après six mois passés dans le Nebraska, chargé de précieuses collections, j’arrivai à New York vers la fin de mars. Mon départ pour la France était fixé aux premiers jours de mai. Je m’occupais donc, en attendant, de classer mes richesses minéralogiques, botaniques et zoologiques, quand arriva l’incident du Scotia. J’étais parfaitement au

Après une courte excursion en Algérie, les effluves de jasmin ont fait demi-tour, contourné la Libye, pour s’épandre le long du Nil, de Suez au Caire, en passant par Alexandrie. Et la vieille Egypte en est toute retournée. Son Raïs, homme lige des Yankees, pote des Yewuts (juifs) et dernier rempart de tous les potentats arabes, est ébranlé. Alors, pour que ce pion essentiel du dispositif moyen-oriental de maintien d’un statu quo favorable à Israël ne Fragrance 2 bascule aux mains d’islamistes

Nebraska, aux États-Unis. En ma qualité de professeur-suppléant au Muséum d’histoire naturelle de Paris, le gouvernement français m’avait joint à cette expédition. Après six mois passés dans le Nebraska, chargé de précieuses collections, j’arrivai à New York vers la fin de mars. Mon départ pour la France était fixé aux premiers jours de mai. Je m’occupais donc, en attendant, de classer mes richesses minéralogiques, botaniques et zoologiques, quand arriva l’incident du Scotia. - 12 - J’étais parfaitement

Nebraska, aux États-Unis. En ma qualité de professeur-suppléant au Muséum d’histoire naturelle de Paris, le gouvernement français m’avait joint à cette expédition. Après six mois passés dans le Nebraska, chargé de précieuses collections, j’arrivai à New York vers la fin de mars. Mon départ pour la France était fixé aux premiers jours de mai. Je m’occupais donc, en attendant, de classer mes richesses minéralogiques, botaniques et zoologiques, quand arriva l’incident du Scotia. J’étais parfaitement

aux États-Unis. En ma qualité de professeur suppléant au Muséum d’histoire naturelle de Paris, le gouvernement français m’avait joint à cette expédition. Après six mois passés dans le Nebraska, chargé de précieuses collections, j’arrivai à New York vers la fin de mars. Mon départ pour la France était fixé aux premiers jours de mai. Je m’occupais donc, en attendant, de classer mes richesses minéralogiques, botaniques et zoologiques, quand arriva l’incident du Scotia. J’étais parfaitement

de brouiller sa trace au cœur de Charleston et y réussit pendant près de quatre ans. La ville fut pour elle comme une amie bonne et généreuse, prête à la serrer contre son cœur et à apaiser ses nerfs détruits par la grande et impitoyable cité de New York. À Charleston, les voix parlaient plus lentement, et Tory se laissait emporter, reconnaissante, par le flot de leurs accents chaleureux. Ici, elle pouvait enfin se cacher, ainsi qu'elle avait cru pouvoir le faire dans la foule dense et mouvante du