Yiddish

peut-être qu'une coïncidence, qu'en octobre 1919 Mishka Ziganoff (it), accordéoniste tsigane et chrétien originaire d'Odessa devenu restaurateur à New York, enregistre dans cette ville une chanson klezmer intitulée Koilen. C'est une version d'une chanson yiddish, Dus Zekele Koilen6, « Le petit sac de charbon » (Das Säckele Kohlen). Celle ci est enregistrée de nouveau, sous ce titre, en 1921 par Abraham Moskowitz et en 1922 par Morris Goldstein6. Une histoire récente Stamattina mi sono alzata, Stamattina

d’ouvriers juifs et organise des milices d’autodéfense contre les pogromistes, les rabbins prônent à l’inverse la soumission totale à l’autorité tsariste. Le Bund se bat pour l’autonomie culturelle des Juifs sur place et défend ardemment la langue yiddish. Hostiles à ces formes de modernité, les religieux seront également au début hostile au sionisme. Certes, ils partagent avec eux le refus de l’assimilation et le fait que les Juifs ne doivent vivre qu’entre eux. Les sionistes pensent que l’antisémitisme

goût de Sadie par les amis de sa mère qui viennent l’écouter chanter. Elle chante sans paroles, ce qui suscite d’ailleurs force moqueries des grands-parents. Sadie apprécie Peter qui la fait rire et qui lui a dit que sadie voulait dire princesse en yiddish. Sadie a l’habitude de se donner des notes en fonction de son bon comportement. Si la note diminue, c’est que l’Ennemi se fâche et est prêt à fondre sur elle. Un jour, les filles de sa classe se rendent compte de l’existence du grain de beauté dans

commence à tenir son journal en 1910, a des ennuis de santé et se réfugie dans la méditation solitaire, éprouvant un grand mal être social. A partir de 1911 il part régulièrement en villégiature avec Max Brod, et commence à s’intéresser au théâtre yiddish. Le 13 août 1912 il rencontre chez Max Brod Felice Bauer avec laquelle il entreprend une correspondance assidue. Il publie Le Verdict, La Métamorphose, Soutier, L’Amérique en 1913 et demande en mariage Felice Bauer. Il se fiance avec elle le 1er

qui les ont aidés et ceux qui ont essayé de leur nuire. Dites pourquoi chacun de ces personnages a agi ainsi, puis quel trait de caractère prédomine chez chacun d’eux. La représentation de la guerre L’antisémitisme L’affiche sur la vitrine (« Yiddish Gescheft », p. 18) ; l’étoile jaune (p. 33) ; les désignations contre les Juifs (pp. 37-38), les préjugés sur leur physique (le « tarin », p. 38, l’affiche, pp. 3839) et les reproches qui leur sont faits (« la guerre est terrible, c’est la faute aux

mentale. Il n’est pas dans la rationalité pure. Un autre exemple : l’antisémitisme. Il y a à l’époque pleins de communautés juives à travers toute l’Europe. Ils utilisent, leur langage qu’on appelle le Yiddish. Les juifs de Pologne, de Roumanie etc, sont quasiment tous germanophones car le Yiddish, on le parle en famille. Le reste c’est allemand. Hitler aurait pu comprendre que c’était autant de propagateur de la langue allemande, mais il s’en prend à eux. Ce qui prouve encore une fois qu’on est

tailleurs, perruquiers, commerçants sur les marchés... A l'époque, les boulangeries kasher du quartier Saint-Paul, dans le Marais, vendaient du pain au cumin noir aux habitants de la rue, et non aux touristes venus d'ailleurs. Et on entendait parler yiddish, pendant les mois d'été, dans les guinguettes de Brunoy ou de Gournay-sur-Marne » Source : http://www.lexpress.fr/actualite/societe/histoire/le-long-chemin-des-enfants-caches_473226.html, site consulté le 29 mars 2011. Chapitre VI : Bibliographie

niveaux de la communication (verbale et non verbale). Le Maire de New York City, Fiorello Henry LaGuardia (1882-1947) parlait les langues le plus utilisées dans sa ville, en plus de l'anglais: l’allemand, l’espagnol, le français, l’italien et le yiddish. On a passé le film de ses harangues dans différentes langues, en coupant le son, à un auditoire composé des représentants de ces communautés respectives. Chaque groupe a reconnu infailliblement à chaque fois la langue utilisée par le maire, à la

humanistes de la civilisation occidentale. C’est François Mauriac, Prix Nobel de Littérature, qui le convainc d’écrire son témoignage, ce qu’il fait sur un navire en route pour Buenos Aires où son manuscrit de plus de 800 pages est publié en yiddish en 1955 sous le titre Un di velt hot geshvign ( Et le monde se taisait ).Pourquoi dix ans de silence ? Dans Un Juif aujourd’-hui, Wiesel explique : « Le temps de reprendre possession de ma mémoire pour unir le langage des hommes au silence des morts

l. steinmetz.   Chamisso (1781-1838), quant à lui, occupe un espace de fiction plus proche du fantastique quand il écrit La merveilleuse histoire de Peter Schlémihl, ou l'homme qui a perdu son ombre (1814), qui promène son héros (dont le nom en yiddish signifie le malchanceux) dans la réalité la plus quotidienne, ce qui donne une certaine vraisemblance à sa narration. La rencontre de Schlémihl avec un homme maigre, grêle, long, silencieux et tout vêtu de gris, change des habituelles descriptions