Yougoslaves

résistants que le journal avait soutenus dix ans plus tôt. Mais venons-en aux conséquences des bombardements. Avant ceux-ci, la situation au Kosovo avait été décrite par une mission de l'OSCE comme  un échange de combats entre les forces de l'ordre yougoslaves et la guérilla albanaise dans les zones où celle-ci était présente.  Depuis 1998, ces combats avaient fait selon Amnesty plusieurs centaines de morts dans les deux camps et causé la fuite de milliers de gens . Le 15 mars 1999, le nombre total

comptes plutôt qu'à la lutte contre l'hiver. L'organisation d'une opération de pacification efficace deviendrait alors plus difficile et beaucoup plus coûteuse. Sans contrôle réel sur près d'un tiers du territoire qui constituait la république yougoslave de Croatie, les autorités croates sont inflexibles et ne veulent pas céder un pouce de terrain. Elles ne sont pas disposées à négocier les frontières fixées par le régime de Tito, qui sont toujours considérées comme justes et sacro-saintes, même

similaire peut être trouvé dans la communauté chypriote turque4. Les proportions de fumeurs sont ensuite les plus élevées en Bulgarie (39%) et en Hongrie (38%), ainsi que dans deux pays non membres de l’UE, la Turquie (37%) et l’ancienne République yougoslave de Macédoine (37%). À l’inverse, c’est en Suède et en Finlande que l’on rencontre les proportions de fumeurs les plus faibles, soit respectivement 16% et 21%. 1.2 Consommation d’autres produits contenant du tabac et de la nicotine La consommation

officiel) à Kumrovec, aujourd'hui en Croatie et mort le 4 mai 1980 à Ljubljana, en RS de Slovénie, État de la République fédérative socialiste de Yougoslavie (aujourd'hui en Slovénie), était un homme politique et militaire yougoslave, dirigeant de l'État socialiste yougoslave avec les titres officiels de premier ministre, puis de président, de la fin de la Seconde Guerre mondiale jusqu'à sa mort en 1980. Il était également « maréchal de Yougoslavie » (du 29 novembre 1943, à sa mort, en 1980), le

émeutes éclatent à Budapest où le PC a presque perdu toute autorité. Les hongrois réclament le retour d’un communiste anti-stalinien (Imre Nagy), mais aussi une réorientation de leur politique étrangère avec un statut de type yougoslave. Moscou, malgré le rapprochement soviéto-yougoslave à la suite du XXème Congrès du PCUS et la réhabilitation de Tito, craint une dislocation du bloc oriental et intervient brutalement par une intervention militaire. Nagy est écarté et remplacé par Kadar, un communiste fidèle

Suisse,  République tchèque,  Allemagne,  Égypte,  Espagne,  France,  Croatie,  Hongrie,  Kirghizistan,  République populaire démocratique de Corée,  Kazakhstan,  Liechtenstein,  Maroc,  Monaco,  République de Moldova,  Monténégro,  Ex-République yougoslave de Macédoine,  Mongolie,  Portugal,  Roumanie,  Serbie,  Fédération de Russie,  Soudan,  Slovénie,  Slovaquie,  Tadjikistan,  Ukraine,  Viet Nam (Protocole)  Algérie (Arrangement)  Dépôt origine :  IT 40 029 C/87 1987-02-19  480 087 1987-05-11

sein du système communiste. Il craint qu’à terme certains dirigeants communistes ne soient tentés de remettre en cause l’autorité suprême de Moscou.Le Kominform siège à Belgrade, puis Bucarest (après la rupture entre Staline et Tito, le dirigeant yougoslave). Il édite un journal, Pour une paix durable, pour une démocratie populaire, sorte de guide de formation à l’attention des cadres des partis communistes (édité en 12 langues).Plusieurs réunions importantes ponctuent l’existence du Kominform et

un groupe paramilitaire. On peut noté aussi des actes isolés de la part de ses milices tel que des assassinats avec la première victime du conflit le 29 février, bien avant le référendum. Le gouvernement bosniaque exige le retrait des troupes yougoslaves, mais le gouvernement central de Yougoslavie refuse, ils ne reconnaissent pas la Bosnie-Herzégovine comme un état indépendant. Afin de paralyser le gouvernement, les serbes forment alors un blocus, néanmoins contourné pas la Bosnie grâce à l'aide

apparaissent comme une façon de reconstruire le pays, de rétablir une justice, c’est en tout cas le but du président Kagamé.II- La construction d’une justice pénale1) Jalon 1 : La Yougoslavie, guerre civile ou guerre contre les civils ?A- La guerre civile yougoslave p.204-5Le maréchal Tito avait assuré la cohésion de cet espace politique rassemblant de nombreuses nationalités qui constitué une véritable mosaïque religieuse, politique, idéologique et linguistique. A sa mort, en 1980, la Yougoslavie semble encore

perpétuel renouvellement d'une culture commune et partagée (comme Rachid Taha) Métiers Nom Origine couturier Takada Kenzo Japonais metteur en scène Emir Kusturica Yougoslave humoriste Fellag Algérien compositeur Iannis Xenakis Grec photographe Robert Capa Hongrois affichiste Leonatto Capiello Italien peintre Vladimir Velickovic Yougoslave écrivain Julio Cortazar Argentin 3 Duthé Baptiste