Yukio Hatoyama

reprennent rapidement le dessus : l’instabilité est de retour et trois Premiers ministres conservateurs se succèdent jusqu’aux élections du 30 août 2009, qualifiées de « séisme politique ». La victoire du Parti démocrate du Japon (PDJ), dirigé par Yukio Hatoyama, est écrasante et l’alternance semble devoir mettre fin au blocage politique. En fait, ce succès reflétait davantage un rejet massif du Parti libéraldémocrate (PLD) qu’une véritable adhésion au programme du PDJ, centré sur deux objectifs essentiels

Pourtant, le Japon était décider à devenir une grande puissance verte. En effet, le Parti démocrate du Japon (PDJ, centre gauche) avait pourtant promis de porter à 25% d’ici à 2020 la réduction de ses émissions de CO2. De même, l’ex-Premier ministre Yukio Hatoyama tenait à ce que son pays se déleste de son rôle de boulet climatique. Mais ces actions futures furent considérées comme trop ambitieuses. Les ONG furent également déçues de voir l’inaction de peuple japonais. Il est nécessaire de renforcer les

c’est Akihito (125e Empereur du Japon) fils de Hirohito, qui règne sur le Japon ; il a inauguré l’ère Heisei. 2/ LE POUVOIR EXECUTIF : Le pouvoir exécutif est confié à un cabinet ministériel de 18 ministres, dirigé par un Premier ministre ( Yukio Hatoyama) symboliquement investi par l’empereur. Celui-ci, qui est élu par la Diète, est en général le chef du parti majoritaire. Il choisit les membres du cabinet au sein de la Diète et soumet son choix à l’approbation de cette dernière. Le Premier ministre

Ministre d’État Directeur de l'Agence de planification économique, ancien Représentant de l'ancien 2e district de Fukuoka, et Représentant du 8e district de Fukuoka. Yukio Edano, homme politique longtemps dirigeant du Parti démocrate du Japon (PDJ). Tōru Hashimoto, avocat. Yukio Hatoyama, 60ème ministre du Japon, ancien Président du Parti démocrate du Japon, ancien Secrétaire général du Parti démocrate du Japon, ancien Président du Parti démocrate du Japon

ORGANISATION POLITIQUE - Nature de l’Etat : monarchie constitutionnelle - Nature du régime : démocratie parlementaire - Constitution : 3 mai 1947 - Chef de l’Etat et titre : S.M. l’Empereur AKIHITO (depuis 1989) - Premier Ministre : M. Yukio Hatoyama 6. PRINCIPAUX INDICATEURS ECONOMIQUES - Monnaie : YEN - Année fiscale : avril -mars - PIB année 2008 : 4552,204 milliards USD - PIB par habitant : 38 160 USD - Taux de chômage (année 2008) : 4.7 % - Taux de croissance (année 2008)

développement international de Suède • Luisa Dias Diogo, députée et ancienne Première Ministre du Mozambique • Han Seung-soo, Président du Conseil d’administration du Global Green Growth Institute et ancien Premier Ministre de la République de Corée • Yukio Hatoyama, député et ancien Premier Ministre du Japon 12-21638 (F) - 21 - • Connie Hedegaard, Commissaire européenne à l’action climatique, ancienne Ministre de l’environnement et ancienne Ministre du climat et de l’énergie du Danemark •

sens consensuel plutôt que sur les salaires. Rengo toutefois a joué un rôle important dans le séisme électoral qui a touché le pays en 2009 : le renversement de la majorité PLD (au pouvoir depuis 1955) par le PDJ (Parti Démocrate du Japon) de Yukio Hatoyama après que trois gouvernements du PLD s'étaient succédés sans succès depuis 2006 : Abe Shinzô, Fukuda Yasuo et Asô Tarô … 3- Deuxième héritage : un système économique original et performant Epargne investie par les entreprises jusqu’aux

Finance, estimations OFCE. À partir de 2011, l’arrêt progressif des mesures de soutien à l’emploi et à la consommation devrait permettre une amélioration du solde public. Mais, au vu de l’ambitieux programme du nouveau gouvernement dirigé par Yukio Hatoyama, membre du Parti démocrate du Japon (PDJ), certaines dépenses publiques pourraient augmenter, compensant en partie les économies réalisées avec la fin des mesures de relance. Ce programme prévoit en effet une série de mesures visant à soutenir

représentant 14% du budget de l’Etat. Le troisième obstacle est d’ordre idéologique. A partir de 1a fin de l’Occupation consécutive à l’entrée en vigueur du traité de San Francisco, les politiciens épurés reviennent sur le devant de la scène, notamment Hatoyama Ichirô et Kishi Nobusuke qui, à la tête du gouvernement, orchestreront la politique du « retour en arrière » entre 1955 et 1960. D’abord sur le plan éducatif : renforcement des pouvoirs du Ministère de l’Education à travers la réactivation de l’enseignement

2006 1 212,7 millions de tonnes 9,49 tonnes par habitant 4,33% des émissions mondiales Au titre de Kyoto, le Japon s'est engagé à réduire de 6% ses émissions polluantes d'ici à 2012. Lors de sa nomination en septembre 2009, le Premier ministre Yukio Hatoyama a annoncé sa volonté de réduire les émissions de GES de 25 à 50% d'ici 2020 par rapport à 1990. Cette annonce a été accueillie avec grande surprise car il s'agit de l'objectif le plus ambitieux pour les grands pays développés. Grands émergents