Yuko

Yuko est un jeune de 17 ans qui a deux passions dans la vie: les haïku et la Neige, ce qui ne plait guère à son père. Pour pouvoir les assouvir, il fait ses poèmes sur le thème de la Neige, rien que de la Neige. Tenant tête à son père qui veut que son fils fasse autre chose dans la vie, il lui promet de n'écrire que 77 haïku pendant 6 mois de l'année et de ne rien faire le reste du temps. Un jour, le poète officiel de la cour vient voir le père de Yuko et ce dernier lui fait lire les haïku de son

comptabilisé, il correspond à une pénalité (shido) donné pour un refus de combattre, une sortie de limite entre autre, mais ne permet pas la victoire du combattant. - Le Yuko : il est actuellement la plus petite distinction. Il correspond à une chute latérale ou une chute sur le bas du dos. Aussi, la somme de deux pénalités (chui) donne un Yuko. - Le Waza-ari : avant sanction suprême, c’est la plus forte comptabilisation de point. Il correspond à une chute avec les épaules sur le sol mais avec un manque

chiffre 7 à une grande importance, Yuko à 17 ans, il écrit 77 poèmes de 17 syllabes, il manie les couleurs de l’arc-en-ciel (chapitre 48) et l’arc-en-ciel est composé de 7 couleurs. 2) Chapitre 7 : « La neige possède cinq caractéristiques principales. Elle est blanche. Elle fige la nature et la protège. Elle se transforme continuellement. Elle est une surface glissante. Elle se change en eau. » Cette description me plait beaucoup, on peut observer que Yuko voit la beauté dans les choses les plus

vie entre la marginalité et la société, le ciel et l’enfer. La poésie lyrique désigne l’enthousiasme, l’inspiration ou encore l’élan des sentiments mais le lyrisme est utilisé également pour définir d’autres arts que la littérature, comme l’exprime Yuko au chapitre 12, la poésie lyrique c’est aussi la peinture, la calligraphie, la danse, la musique et l’écriture. Le lyrisme c’est aussi l’art de savoir parler que l’on retrouve au théâtre par exemple. Dans la Grèce Antique, les orateurs se servaient

présents ont aimé,, beaucoup aimé, les absents aussi et ont tenu à le faire savoir. Certains y ont vu la magie du conte, d’autres un poème, par la concision comme dans l’exercice du haïku, art que pratique Yuko, le héros qui contre l’avis de son père prêtre choisit sa voie : devenir poète Yuko part retrouver un maître de cet art et tous deux partagent l’amour pour une belle femme disparue dans la neige. Neige comme la pureté du blanc, le côté un peu naïf, voire décalé de ce court récit nous détourne

surprend-il ? Les figures d’analogie, la description. Séance 9 : Lecture analytique des chapitres 21 à 23 Préparation : - Quel est le type de discours dominant ? - Quelles relations entretiennent Yuko et Soseki ? - En quoi l’enseignement du maître est-il paradoxal ? Qu’apprend-il à Yuko ? Les différents types de discours. Séance 10 : Le blason, éloge et blâme. Textes complémentaires sur le blason. Evaluation formative. Ecriture d’invention : écrire un blason Séance 11: La poésie

dans une atmosphère troublante, un jeune lycéen, Watanuki, capable de voir les spectres, qui va rencontrer par « hasard » Yûko, une étrange femme dotée du pouvoir d’exaucer les vœux. Le lecteur peut se perdre par la présence de deux trames narratives et deux temporalités, celles circulaires de Yûko, et celles linéaires de Watanuki : en effet, les saisons passent, et pourtant Yûko semble vivre des aventures hors du temps, en compagnie de Watanuki, le seul personnage qui évolue et gagne en expérience

adversaire sur le dos avec force, vitesse et précision. Si cet objectif est atteint, l’arbitre annonce ippon et met fin à la rencontre. Si l’un ou plusieurs de ces éléments fait défaut, l’arbitre peut annoncer, par ordre décroissant de valeur, waza-ari, yuko, koka ou encore la simple reprise du combat. Dans tous ces cas, le combat peut se poursuivre au sol où la victoire peut être acquise de deux façons : sur abandon de l’un des compétiteurs à la suite d’un étranglement ou d’une clé portée sur l’articulation

(1998-1999), U17 (1996-1997), U20 (1993-1995), Et finalement, senior (1992 ou avant). les pénalytés Ancien système Différentes pénalités s'accumulaient : la première, shido, donnait un "koka" à l'adversaire la suivante, chui, donnait un yuko à l'adversaire en éliminant le shido précédent ; la troisième pénalité, keikoku, donnait un waza-ari à l'adversaire. la quatrième pénalité, hansoku-make, donnait la victoire à l'adversaire. Si le hansoku-make est dû à une faute grave qui y donne

Techniques : Debout IPPON : debout projeter adversaire directement sur le dos avec force, vitesse,contrôle( 2 épaules au sol) WAZA-ARI(7 pts) : épaules pas franchement au sol YUKO (5pts) : adv arrive sur le coté après projection KOKA 3 pts arrive sur le cul Au sol IPPON : immobilisation 25 '' WAZA-ARI : 20 à 24 '' Yuko : 15 à 19 '' KOKA 10 à 14 '' NB : les points ne se cumulent pas, priorité à la prise la plus cotée ( 2 Waza-ari=Ippon) Terminologie Ceintures : blanche,jaune,orange,verte