Yves Bonnefoy Les Arbres

poème à sa façon. La poésie offre de multiples sens. Chacun ne ressent pas la même sensibilité face à un poème. Un poème peut toucher une personne et laisser de marbre une autre. Poèmes : Paul Verlaine, Jadis et naguère, « Jadis » (1884) Yves Bonnefoy, Hier régnant désert, « le Chant de sauvegarde » (1958) Lamartine, « l’Automne » Victor Hugo, Les Contemplations, livre 4, « Pauca meae », 14 (1856) William Cliff, Atobiographie, « Enfance » (1993) Louise Labé, Sonnets, 14 (1555) Elie Ehrenbourg

La poésie ne sert-elle qu’à exprimer les sentiments ? La figure tutélaire de la poésie ne serait-elle pas Orphée, le Prince de Thrace qui, par sa plainte, a ému Hadès et Perséphone puis qui enchanta arbres et animaux par ses chants clamant la douleur liée à la perte de sa femme Eurydice ? Ce mythe, ou du moins la partie la plus connue de ce mythe, tend à faire penser que la poésie sert à exprimer les sentiments. Mais n’est-ce là que sa seule fonction ? Si la poésie apparait comme le genre privilégié

XIXème siècle) Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne, Je respire l'odeur de ton sein chaleureux, Je vois se dérouler des rivages heureux Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone; Une île paresseuse où la nature donne Des arbres singuliers et des fruits savoureux; Des hommes dont le corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués

symbolistes à Paul Valéry. Ainsi, auteur d'une œuvre poétique ambitieuse, Stéphane Mallarmé a été l'initiateur, dans la seconde moitié du xixe siècle, d'un renouveau de la poésie dont l'influence se mesure encore auprès de poètes contemporains comme Yves Bonnefoy. Ses plus grandes oeuvres furent ‘’Apparition’’, ‘’Dans le jardin’’, ‘’L’eventail de Madame Mallarmé’’ et beaucoup d’autres. Le poème Clair de lune de Paul Verlaine est très représentatif du symbolisme esthétique.Le paysage est ici le symbole

Années (2008) Jean Echenoz, Cherokee (1983) ou Je  m’en  vais (1999) ou Ravel (2006) Pierre Michon, Vies minuscules (1984) ou Les Onze (2009) Jean-Philippe Toussaint, La Salle de bain (1985) Pascal Quignard, Tous les matins du monde (1991) Yves  Bonnefoy,  poèmes  (années  1940  à  aujourd’hui) Marie Darrieussecq, Truismes (1996) Michel Houellebecq, Les Particules élémentaires (1998) Christine Angot, L’Inceste (1999) ou Pourquoi le Brésil ? (2002) LITTÉRATURE FRANCOPHONE Algérie Mouloud

III - L'importance d'un titre ..................................................................26 PAUL ELUARD OU LE PLAISIR D’ECRIRE ....................................31 I – Liberté : “et je t'enserre dans l'acte de décrire et de nommer” (Yves Bonnefoy) .................................................................................31 Il – Production d’écrits ........................................................................33 CONCLUSION..............................................

le projet semble enrubanné comme une momie, on a envie de voir ce qui se cache dessous, le projet stimule le désir via la curiosité. PROJET GSTAAD Le projet vient s’alimenter du champ lexical de la campagne suisses. Bottes de paille, souche, buche, arbres, montagne, vallon etc.. Chacun peut lui donner des mots dans ce champ lexical qui relève du lieu. Ce n’est pas un objet qui se défend d’être lui même, le projet vient en dialogue avec son entourage et sa culture. Franck : A la fois ce n’est pas un

néant par trop-plein d’être. […] Ce monde, le monde de tous les jours, avec ses arbres et ses toits, se femmes, ses 17. On se souvient que Sartre s’en prend particulièrement à l’écriture automatique qui « est avant tout la destruction de la subjectivité. » (p. 221) 18. Sur cette incompatibilité de l’imaginaire pur et de la praxis, Sartre « en trouve l’aveu touchant chez un surréaliste de 47 », c’est-à-dire chez Yves Bonnefoy que l’acheminement vers le réel précisément va éloigner de Breton. 20

Brognier, Nicole Brossard, Yves Broussard, Stéphane Despatie, Pierre Dhainaut, Kim Doré, Hélène Dorion, Marc Dugardin, Louise Dupré, Gérard Engelbach, Rose-Marie François, Madeleine Gagnon, Brigitte Gyr, Benoit Jutras, Marie-Paule Lapointe, Daniel Leuwers, Jacques Lovichi, Philippe Mathy, Bernard Mazo, François Montmaneix, Andréa Moorhead, Yves Namur, Carl Norac, Lucien Noullez, Joseph Orban, Jean Poncet, Bernard Pozier, Marie-Clothilde Roose, Dominique Sorrente, Pierre-Yves Soucy, Jean-Claude Tardif

revisitent des archétypes. Les archétypes : Jaume Plensa (1955) Philip Glass (W14784) - 2008 - Aluminium, pièce unique 99 x 61 x 91 cm Courtesy Galerie Lelong, Paris Ou comment l’histoire des arts peut être une source d’inspiration directe ou pas. Yves Klein avec Portrait relief d’Arman (PR1) revisite la statuaire antique des Kouros représentés les bras le long du corps, les coudes légèrement décalés, les poings serrés. Le fond doré fait penser quant à lui à la tradition Byzantine. Dans les œuvres