Zola La Bête Humaine Meurtre De Severine

Jacques Lantier est le personnage principal de l'oeuvre "La Bête Humaine", d'Emile ZOLA. Issu de la branche Macquart de la grande famille de Zola, il travaille comme mécanicien sur sa locomotive - qu'il surnomme "La Lison" - qui assure le trajet Paris-Le Havre. C'est un homme travailleur, ponctuel, et est, aux premiers abords, une personne sympathique. Cependant, il cache un terrible secret. Il a en lui depuis sa naissance une folie meurtière qui se déclenche lorsqu'apparaissent

tombent ensemble sous les roues du train chargé de soldats en partance pour le front. Sans chauffeur ni mécanicien, le train fou poursuit sa course, devant l’affolement impuissant des hommes. I. Une puissance meurtrière Cette scène qui clôture la Bête humaine témoigne nettement de la vocation narrative du train. Omniprésent dans l’action du roman, le train se révèle dans cet extrait à la fois comme force agissante et comme personnage. Livré à lui-même, pris d’un mouvement furieux et incontrôlable, le

La Bête Humaine Emile Zola I. Personnages Jacques Lantier, personnage principal, conducteur de train, amant de Séverine et fils de Gervaise, habite à Paris. Pecqueux, chauffeur de train avec Jacques. Séverine, femme de Roubaud, maîtresse de Jacques, abusée dans sa jeunesse par Grandmorin. Roubaud, mari de Séverine,habite au Havre. Grandmorin, juge connu,mais qui a des attitudes repehensibles avec des jeunes filles,possede une maison a la Croix de Maufras réputée sinistre,mysterieuse

handicap. Dans le roman de Zola, « Thérèse Raquin », Madame Raquin est victime d’un handicap au milieu du roman. Elle devient paralysée et muette. Son fils Camille sera tué par sa femme Thérèse Raquin et l’amant de sa femme, Laurent. Ces derniers ne se souviennent pas de Madame Raquin et il leur arrive d’évoquer le meurtre de Camille en sa présence. Leur mariage tourne mal. Thérèse décide de tuer Laurent alors que celui-ci

La bête humaine de Zola : chapitre I La fêlure  Définition : - Légère altération mentale : folie - Trou, cassure imperceptible - Existence de la fêlure = grand vide intérieur A travers la fêlure, l’instinct cherche l’objet qui lui correspond. Hérédité de la fêlure ne transmet ( se transmet de manière silencieuse) rien d’autre que soi, vague et diffus. Pour Zola : métaphore de la fêlure désigne une lésion, une blessure et se réfère à une névrose héréditaire

Dissertation   Nana, le personnage de Zola, éprouvait "une répugnance indignée contre cette littérature immonde dont la prétention était de rendre la nature ; comme si l'on pouvait tout montrer ! En matière de livres et de drames, Nana avait des opinions très arrêtées : elle voulait des œuvres tendres et nobles, des choses pour la faire rêver et lui grandir l'âme." Sujet : Les reproches qu’adresse Nana aux romans naturalistes sont-ils justifiés ? Les œuvres de Zola, au XIXème siècle, sont souvent

Tout d’abord, la bagarre entre le personnage principal, Jacques et son ami devenu ennemi, Pecqueux est ancrée dans le réel. Ce sont des personnages ordinaires, issus du peuple. Ils n’ont pas toutes les qualités ni tous les défauts. Zola tue les héros, les colosses. Zola a pris appui pour le combat sur un fait réel qu’il a lu dans Le Gaulois, le 12 mai 1886. Il garde la légende pour la fin du roman ; un chauffeur pour se venger de son mécanicien, amant de sa femme, l’a poussé sur la voie mais a également

La bête humaine Auteur: Émile Zola Maison d'édition: Cle International Pages de livre: 58 Genre: roman d’amour / roman policier Première parution: 1890 Questions et réponses Chapitre I 1) Qui est Séverine Aubry et comment Roubaud l’a-t-il rencontrée ? - Séverine Aubry était la fille d’un jardinier, qui est mort au service de Grandmorin. Après la mort de son père, elle a habité chez Grandmorin. - Roubaud a connu sa femme depuis qu’elle avait

reflet de la réalité. En effet, au XIXe siècle, le Siècle du Roman, le naturaliste Émile Zola, a écrit une vingtaine de romans qui appartiennent tous à la même série “Les Rougon-Macquart” se concentrant dans l’étude de 2 familles. Son but était de représenter le peuple ouvrier dans les mines, les chemins de fer, la prostitution… comme par exemple, à travers le personnage de Jacques Lantier dans “La Bête Humaine” (1890), le dix-septième volume de la série “Les Rougon-Macquart”. Ici, Lantier connaît

l’habitat. Avec La Bête humaine, Zola choisit un thème lié à la réalité matérielle -ici, le chemin de fer- et ancre son roman au cœur de la modernité scientifique, invitant son lecteur à s’immerger dans l’univers ferroviaire. Le romancier poursuit dès lors le but d’une littérature scientifique et tente ici de transmettre la réalité concrète du monde, d’où son attrait pour la matière brute comme le fer ou le charbon. Quel rapport entretient l’art naturaliste avec le réel ? En quoi Zola parvient-il à