Zola La Déchéance De Gervaise

Lecture analytique de l'incipit de l’assommoir Intro : Écrit en 1876 par Émile Zola, L’Assommoir est un roman en 13 chapitres et constitue le 7e volume de la série des Rougon-Macquart. Le roman raconte la grandeur puis la décadence de Gervaise Macquart, blanchisseuse dans le quartier de la goutte d’Or, à Paris. Après avoir été abandonnée avec ses 2 fils, Claude et Étienne, par son amant , Auguste Lantier, Gervaise épouse l’ouvrier zingueur Coupeau et parvient à conquérir bonheur et prospérité,

café », les « vasistas », « la plaque de marbre ». Zola effectue des sortes de zooms sur les « persiennes pourries », la « lanterne aux vitres étoilées » et Céline mentionne « un petit grillage », un « tout minuscule guichet » et les « recoins pourris au bas des murs ». Elles sont émaillées de noms propres qui désignent des lieux très précis : la diligence de Frédéric passe devant le « Jardin des Plantes » puis le « quai Saint-Bernard ». Gervaise balaie du regard « le boulevard de la Chapelle

l’anormalité : Gervaise avec sa tare physiologique (elle boite), et Nana sa fille avec sa tare psychologique : elle veut conquérir tout Paris en le corrompant par le corps. Ces représentations sont si peu réjouissantes et elles ne font guère appel à notre sentiment d’apitoiement en tant que lecteurs. C’est que le personnage féminin est représenté comme la source de toutes les corruptions. Mais cette nature dénaturée ne fut-elle pas un exemple de vertu et d’honnêteté ? En fait Gervaise est avant tout

d’écriture  Invention Imaginez le dialogue qui opposerait Zola à un adversaire du naturalisme. Cette conversation reprendra certains arguments du texte C. Texte A. Emile ZOLA, L’Assommoir, (1877), chapitre V. Texte B. Emile ZOLA, L’Assommoir, (1877), chapitre XIII . Texte C Emile ZOLA, « Germinie Lacerteux» Mes haines, chroniques littéraires et artistiques, (1866) Sujet de bac 1 Invention Par hasard, Emile Zola rencontre dans le salon de son éditeur un célèbre critique littéraire

principal est un homme opportuniste qui ne recule devant rien pour gravir les échelons. La médiocrité de leurs personnages est plurielle. Il peut s’agir d’une médiocrité de la classe sociale (Denise Baudu, personnage du « Au Bonheur des Dames », de Zola, est vendeuse dans un grand magasin), de la profession (Charles Bovary est officier de santé, il n’a pas le titre de médecin) par exemple. . De plus, le personnage médiocre en tant que héros apporte certaines choses qu’un héros « classique » ne

Commentaire composé – L’ASSOMMOIR d’Émile Zola, 1877 « Le festin de Gervaise » La littérature française du XIXe siècle témoigne la succession d’un triumvirat romanesque dans son Histoire littéraire mouvementée dans la mesure où elle assiste aux naissances réactionnelles des courants relativement modernes qui ont enrichi l’époque et ont laissé des chefs d’œuvres littéraires dont l’influence demeure indélébile. Après l’avènement du Romantisme qui nourrit toute la première moitié du siècle, advient

L'Assommoir d'Emile Zola est sans doute le titre de la série des Rougon-Macquart le plus connu. Présenté par l'auteur comme une peinture de "la déchéance fatale d'une famille ouvrière, dans le milieu empesté de nos faubourgs " l'Assommoir qui se passe avant Germinal nous plonge entièrement au coeur d'un voyage dans le temps. D'une grande puissance littéraire, décrivant avec intérêt, passion et minutie la lente descente au enfer d'une blanchisseuse, nous sommes emportés par le style de Zola qui a voulu

romans réalistes qui décrivent des êtres de basses condition sociale. Par exemple Emile ZOLA dans l'Assommoir . Gervaise sombre dans l'alcool et la fainéantise pour oublier ses problèmes qui la tourmente et aussi pour oublier sa famille. Á travers cette vision négative Zola dénonce "le relachement des liens familiaux" et "la déchéance fatale d'une famille ouvrière". Zola cite que Gervaise "connait la déchéance finale en se prostituant dans la rue ,ou elle est trouvée morte de faim et de misère."

 L’Assommoir (Zola) 1877 L’alambic 5 10 15 20 25 30 Et elle se leva. Coupeau qui approuvait vivement ses souhaits, était déjà debout, s’inquiétant de l’heure. Mais ils ne sortirent pas tout de suite ; elle eut la curiosité d’aller regarder, au fond, derrière la barrière de chêne, le grand alambic de cuivre rouge, qui fonctionnait sous le vitrage clair de la petite cour ; et le zingueur, qui l’avait suivie, lui expliqua comment

Le thème de la machine dans les romans d’Emile ZOLA « L’alambic » - Gervaise, future alcoolique, est installée au bar de « L’Assommoir », et examine la machine à distiller… Elle eut la curiosité d'aller regarder, au fond, derrière la barrière de chêne, le grand alambic de cuivre rouge, qui fonctionnait sous le vitrage clair de la petite cour ; et le zingueur, qui l'avait suivie, lui expliqua comment ça marchait, indiquant du doigt les différentes pièces de l'appareil, montrant l'énorme cornue d'où