Zulma

française, notes et préface de Patrick Cardon, Lille, QuestionDeGenre/GKC, 2004. Bernard Guérin, Anthologie de la sodomie, La Musardine, 2009. Claude Guillon, Le Siège de l'âme : Éloge de la sodomie. Fantaisie littéraire, érosophique et antithéiste, Zulma « Grain d'orage », 1999. Christian Gury, L'Honneur perdu d'un politicien homosexuel, Kimé « le sens de l'histoire », 1999. Mark D. Jordan, The Invention of Sodomy in Christian Theology, University of Chicago Press, 1998. Traduction : L'Invention

fait connaître ses opinions monarchistes et catholiques dans le journal légitimiste Le Rénovateur. Il fait reposer sa doctrine sociale sur l’autorité politique et religieuse, en contradiction totale avec ses opinions d’origine, forgées avec son amie Zulma Carraud, une ardente républicaine : « Vous vous jetez dans la politique, m’a-t-on dit. Oh ! Prenez garde, prenez bien garde ! Mon amitié s’effraye (…) ne salissez pas votre juste célébrité de pareille solidarité (…). Cher, bien cher, respectez-vous

fait connaître ses opinions monarchistes et catholiques dans le journal légitimiste le Rénovateur. Il fait reposer sa doctrine sociale sur l’autorité politique et religieuse, en contradiction totale avec ses opinions d’origine, forgées avec son amie Zulma Carraud, une ardente républicaine[53]. En janvier 1833[4], il commence sa correspondance avec la comtesse Hańska, une admiratrice polonaise qu'il rencontre en Suisse, en Saxe, en Russie et qu'il va courtiser pendant dix-sept ans. Ses lettres à la

cesse dans la lumière. ANNEXE 1 Bibliographie I- BRUSATIN, Manlio, Histoire des couleurs, Ed, Flammarion, traduit de l’Italien par Claude Lauriol, 1986. II- BUISINE, Alain, Dictionnaire amoureux et savant des couleurs de Venise, éd, Zulma, 2001 III- CROUZET-PAVAN, Elisabeth, Venise triomphante : les horizons d’un mythe, éd. Albin Michel  IV- GODO, Emmanuel, La légende de Venise, Maurice Barrès et la tentation de l’écriture, Pesses Universitaires du Septentrion, 1996. V- HEYVAERT

évidente entre Eva et la mère de Balzac qui se tient à l’écart de la rue Fortunée. Le mariage comble l’écrivain. « J’ai épousé la seule femme que j’ai aimée... J’aurai le plus brillant de tous les étés, le plus doux de tous les automnes » écrit-il à Zulma Carraud. Mais la santé de Balzac se dégrade. Il ne peut plus lire ni écrire et souffre de pathologies cardiaques, pulmonaires et cérébrales. Selon la formule consacrée, il décède le 18 août 1850 « épuisé par le travail ». Ainsi s’achève le roman d’une

public de Balzac, qui va consacrer le romancier. « [Werdet] est très heureux de la vente d'E[ugénie] Grandet », écrit Balzac à Mme Hanska en février 1834. Il m'a dit ce mot solennel, « cela se vend comme du pain. » « Eugénie G. m'a beaucoup plu, écrit Zulma Carraud. Si ce n'est pas la femme séduisante, c'est la femme vraie, dévouée comme beaucoup le sont, sans éclat. » ; « Votre Eugénie Grandet serre le coeur en clouant les yeux sur les pages. C'est une de vos peintures les plus profondes », remarque

clichages. Mélanges Anne-Marie Perrin-Naffakh, 2002, p. 287-296. 83 BRAUD, Michel, « Le diariste solitaire », in L’Invention du solitaire, n° 19 de Modernités , 2003, p. 167-175 (sur Amiel). 84 BRÉNOT, Philippe, De la lettre d’amour , Éd. Zulma, 2000, 140 p. 85 BRIGHELLI, Jean-Paul, L’Épistolaire, bac français 1ère : les diverses formes de correspondances, leurs fonctions, esthétiques et argumentatives, Magnard, 2003, 160 p. (avec, parallèlement, un Livre du professeur, 44 p.).

fait connaître ses opinions monarchistes et catholiques dans le journal légitimiste le Rénovateur. Il fait reposer sa doctrine sociale sur l’autorité politique et religieuse, en contradiction totale avec ses opinions d’origine, forgées avec son amie Zulma Carraud, une ardente républicaine53. En janvier 18334, il commence sa correspondance avec la comtesse Hańska, une admiratrice polonaise qu'il rencontre en Suisse, en Saxe, en Russie et qu'il va courtiser pendant dix-sept ans. Ses lettres à la comtesse

traduction, sous la direction d'Agnès Bouvier, Ildikó Lörinszky et Loïc Windels », 2011 (http://flaubert.revues.org/1724) * Correspondance de Flaubert, éd. D. Girard et Y. Leclerc, Rouen, 2003. Yvan Leclerc, Plans et scénarios de Madame Bovary, Zulma, 1995 * Autres : Jacques de Voragine, La Légende dorée, Paris, Editions « Classiques Garnier », Collection « Textes littéraires du Moyen Age », n° 4, Paris, 2010 Heinrich Meidinger, Dictionnaire étymologique et comparatif des langues teuto-gothiques

fait connaître ses opinions monarchistes et catholiques dans le journal légitimiste le Rénovateur. Il fait reposer sa doctrine sociale sur l’autorité politique et religieuse, en contradiction totale avec ses opinions d’origine, forgées avec son amie Zulma Carraud, une ardente républicaine54. En janvier 18334, il commence sa correspondance avec la comtesse Hańska, une admiratrice polonaise qu'il rencontre en Suisse, en Saxe, en Russie et qu'il va courtiser pendant dix-sept ans. Ses lettres à la comtesse