éfficacité Politique De Relance

 Economie monétaire La politique monétaire de la BCE 2) Les objectifs et les outils de la politique monétaire : La politique monétaire de la BCE, instituée en octobre 1998 et a pour but de mettre en œuvre la politique monétaire unique de la zone euro. La Banque Centrale Européennes a deux grands objectifs. Le principal objectif de la BCE est la stabilité des prix, et son second rôle sera de stimuler l’activité économique. Ces objectifs ne peuvent se faire sans outils. Pour bien utiliser

Chapitre 1 : La politique économique en économie ouverte Références du chapitre : • Chapitres 4, 5, 6 d’Analyse Macroéconomique, Tome 1 (présentation analytique). Les chapitres 5 et 6 forment la base de ce qui sera présenté dans ce chapitre. • Chapitre 5 de Macroéconomie approfondie (présentation graphique et analytique, assez courte). • Chapitre 5 de La politique macroéconomique (présentation graphique, présentation littéraire détaillée des mécanismes). • Chapitres 9, 10 et 11 de Macroeconomics

croissance faible dans les pays développés et le manque de financement international pour les pays en développement. Les pays les plus pauvres continuent à avoir besoin d'aide pour sortir de la crise. Ces pays peuvent jouer un rôle-clé en contribuant à relancer la demande, favorisant ainsi la reprise mondiale, mais ils auront besoin de financements au cours des années à venir. La demande d'assistance auprès de la Banque demeure élevée. Au cours de l'exercice 2009, les prêts, les subventions, les investissements

La courbe de Phillips était un outil de régulation, puisqu’elle permettait de savoir s’il fallait adopter une politique de relance (augmentation des dépenses publiques pour favorises la croissance et lutter contre le chômage) ou de rigueur (revenir à la stabilité des prix en bloquant les salaires). Donc lorsque le chômage est élevé et que l’inflation est faible, on pratique une relance monétaire, et donc le chômage diminue du fait de la hausse de la production. A l’inverse, dès lors que les prix

l’interventionnisme fiscal : A. De l’économie… B. … A l’écologie I. Les limites du recours à l’interventionnisme fiscal : A. Un interventionnisme fiscal à efficacité limité  B. Vers une rationalisation de l’interventionnisme fiscal La généralisation de l’interventionnisme fiscal en tant qu’instrument habituel voire nécessaire des politiques publiques soulève une interrogation concernant les objectifs que cherche à atteindre la puissance publique en usant de ce mécanisme. Ce qui

Chapitre1: Introduction I/ Introduction à la politique économique. A / Trois approches 1/Eco positive La politique économique est considérée comme exogène. Analyse des conséquences des politiques économiques à travers les différents canaux de transition 2/Eco normative - L’économiste comme conseiller du Prince (bienveillant, gouvernement.) - Difficultés liées aux arbitrages, aux contraintes (qui font que l'économiste doit renoncer à la solution optimale, solution de premier rang. Il

C. Conséquences de la création monétaire et politique monétaire Les économistes s'opposent sur la question de l'impact de la monnaie sur les flux réels, autrement dit sur le volume de la production, de la consommation, de l'emploi. 1 L’analyse libérale Doc. 15 poly la vision des quantitativistes 52 L’approche présentée dans ce texte est dite « quantitativiste » car elle attribue un rôle clé à la quantité de monnaie en circulation dans l’explication de l’inflation. 53 Émission de

Préparation de question types BAC : Sciences Economiques et Sociales -Chap 1.1 : Quelles sont les sources de la croissance ? > En quoi le progrès technique permet-il de relancer la croissance face au problème de la théorie des rendements décroissants ? Tout d’abord situons nous dans un contexte de croissance économique. On peut distinguer deux types de croissances distinctes, outre les facteurs de production que sont le capital et le travail, la croissance extensive se base sur l’accroissement

l’activité économique soit de manière directe (Etat producteur) ou de manière indirecte (politique de redistribution des richesses). Cette situation s'est traduite par un développement important de l'Etat providence au cours des trente glorieuses. Toutefois, à partir du début de la décennie 80, l'influence du courant libéral s'est faite de plus en plus sentir. Les Etats ont mis progressivement en place une politique de déréglementation et de privatisation. Celle-ci vise à faire jouer un rôle croissant

chronique. Si l'on considère le niveau d'intégration de nombreux pays à l'économie mondiale, ces résultats disparates révèlent la relativement bonne efficacité des politiques économiques nationales. Cette tendance inflationniste a été renversée dans la plupart des pays industrialisés vers le milieu des années 1980. Des mesures budgétaires et des politiques monétaires audacieuses engagées au début de la décennie, combinées à la baisse brutale du prix du pétrole et des matières premières, ont permis de