éthique Et Bioéthique

d’abord de prélever des cellules du corps humain et de les introduire dans des cellules reproductrices, puis dans un second temps d’amener ces cellules au stade d’embryon en laboratoire afin de l’obtenir en quantité. Nous allons maintenant voir l’enjeu éthique de cette pratique qui divise encore beaucoup. 1) L'intérêt, les bienfaits des avancées récentes de la recherche. Théoriquement, le clonage thérapeutique permettrait de soigner certains patient atteints de maladies à ce jour non curables telles

qui découlent de l'usage de la stimulation de l'ovulation nécessaire à l'obtention d'un taux de grossesse satisfaisant. Le traitement nécessite un monitorage soigneux afin de prévenir les risques d’hyper stimulation et/ou de grossesse multiple. Éthique :On peut considérer cette technique comme éthiquement acceptable s'il y a une indication médicale à avoir recours à l'insémination artificielle et si l'évaluation individuelle du couple permet de conclure à une plus grande chance de grossesse avec

site internet, expliquer ce qu’est le clonage, son histoire ainsi que de quelles manières il peut être utilisé. Puis nous verrons comment le clonage a ‘’ forcé’’ la biologie à créer un nouveau domaine qu’est la bioéthique. De cette façon nous pourrons voir ce que le clonage représente en éthique. Ensuite j’essayerais de voir quelle place prend ce phénomène dans la loi suisse ainsi que dans d’autres pays tels que les Etats-Unis. En dernier lieu, dans la partie production personnelle, j’analyserais les

prononcées et malgré l'absence de techniques actuelles assez puissantes , l'équipe médicale persiste au détriment du bien être de l’enfant , il sagit bien d’acharnement . Nous pouvons alors voir que la réanimation de ces petits êtres devient un enjeux éthique important . Plusieurs questions se posent : L’acharnement thérapeutique en vaut il la peine si un enfant prématuré porte de lourdes séquelles a vie ? Doit on laisser mourir les enfants nés très prématurément sous prétexte qu’il risque de

expérimentations, sous prétexte de faire progresser la science, ne peuvent être tentées ; nos relations à la vie, à la mort, à la sauvegarde de la dignité humaine se trouvent engagées. L’expérimentation humaine pose des questions du point de vue éthique : Jusqu’où peut-on aller dans une expérimentation humaine ? Peut-on concevoir des limites à l’expérimentation humaine ? Qui doit poser ces limites ? Après avoir donné la définition de l’expérimentation humaine, nous montrerons qu’elle est le plus

la naissance seulement? | D'autres sources de cellules souches? Des recherches récentes suggèrent que la moelle rouge osseuse d'adultes pourrait produire des cellules souches utilisables pour soigner de nombreuses maladies. * Mais est-il éthique de centrer la recherche médicale sur l'obtention de cellules souches d'adultes si, entre temps, des personnes meurent de maladies que des cellules souches embryonnaires auraient pu soigner? * Devrait-on autoriser l'utilisation d'embryons alors que

accord avec la vertu. La vie humaine n’est donc une vie heureuse que si elle reste soumise à ce contrôle rationnel, sans quoi elle ne serait pas la vie bonne pour l’homme. Toutefois il est important de s’interroger sur la question de la vertu. Dans Ethique à Nicomaque, Aristote affirme que « le bien pour l’homme consiste dans une activité de l’âme en accord avec la vertu ». Cette coordination est possible dans la mesure où l’homme a la particularité de mener une vie pratique de la partie « rationnelle »

obstacle au clonage reproductif humain. Si la réalisation du clonage est réussie et franchit les limites scientifiques, alors cela signifie que la création d’êtres vivants viables serait possible, par conséquent, cela engendrerait des problèmes d’ordre éthique. LE CLONAGE ET LA MORALE Le clonage reproductif humain remet en cause les notions-même de famille, de descendance, de paternité/maternité, de reproduction sexuée. En réalité,  la mise en place du clonage aurait des difficultés pour le titre

également la notion de consentement présumé dans le cas du prélèvement d’organes sur une personne décédée. Les lois de bioéthique de 1994, notamment celle du 29 juillet, ont amélioré les règles préexistantes en imposant des dispositions strictes visant à obtenir un consentement libre et éclairé du donneur et éviter les pratiques mercantiles. La révision des lois de bioéthique le 6 août 2004 fait du don et de la greffe d’organe une priorité nationale. A l’heure où le succès des greffes est de plus

anomalies Physique-Chimie : échographie, ultra-sons Maths : statistiques, courbes Thème : L'avortement en Europe ST2S : législation sur l'IVG/ITG en France et en Europe, centre de planification familiale, éthique Bio et Physio : rubéole, toxoplasmose Physique-Chimie molécules Maths : statistiques Hist-Géo : L'Europe Thème : la santé des sans-logis en France ST2S : facteurs d'exclusion, insalubrité