3 Contes philosophiques "microlecture7"
Après s'être séparée de son mari, Mme De La Carlière est frappée successivement de plusieurs malheurs : en effet, elle perdu son fils après l'avoir envoyé chez une nourrisse : « de jour en jour l'enfant dépérit et mourut. » (l.653). De plus, elle perdit son frère « tué à la première bataille » (l.677) puisqu'elle avait exigé lors de son mariage avec Desroches que celui-ci quitte le service et qu'il devait céder son régiment à son frère cadet. Enfin, la mère de Mme De La Carlière mourut de vieillesse, âgée de « ses soixante et seize ans passés » (l.687).
A chaque fois qu'il arrive un malheur à Mme de la Carlière, Desroches en est tenu responsable (voir txt). A cause de ces ragots, il tombe dans une dépression « le caractère de Desroches se noircissait » (l.683). + Jugements portés sur les actions de Desroches.
Les deux personnes qui parlent racontent que Mme de la Carlière est morte dans une église, « à la messe de la paroisse » (l.711) devant une foule de personnes. La mort dans l'église est « bizarre » selon les personnes qui parlent. En effet, il n'est pas coutume de mourir dans une église. Pourtant, juste avant d'être communié, elle allait mieux, cependant juste après elle « expire » comme par hasard.
Il est châtié, il est jugé coupable de la mort de sa femme. En « s'arrachant les cheveux », il se dit à lui même que c'est lui qui l'a tué ! => Il peut passé pour un fou aux yeux des gens.
D'après les deux interlocuteurs, les proches de Mme de la C. sont coupables car ils n'ont pas assez prêté attention à celle-ci le temps où elle était malade : « Et ce qui était ignoré de ceux-mêmes qui vivaient autour d'elle. Et qui étaient à portée de voir tous les jours. » (l.75). De plus, les interlocuteurs critiquent la manière retords de raconter des commérages autour d'eux : « voilà ce qu'est le jugement public de nos actions particulières. Voilà comme une faute légère […] s'aggrave à leurs