4ieme de couverture
Les Feluettes est une œuvre québécoise datant de 1952. Ce drame romantique raconte l’histoire d’un groupe d’ex prisonniers dont leur chef se nomme Simon, un homosexuel qui défoule ses émotions par la pyromanie. Ce groupe d’ex prisonnier vont torturer l'évêque Jean Bilodeau pour que Simon puisse se venger du coup bas que Bilodeau lui a fait dans les années précédentes. Cette citation résume tout : Simon « J'ai moisi en dedans pendant des années pour quelque chose que j’ai pas faite ! Y'a rien qu'une personne au monde qui sait c'qui s'est réellement passé un matin du mois de septembre de 1912 Ce triangle amoureux entre Bilodeau, Simon et Vallier rend ce roman remplit d’actions. En effet, Bilodeau est jaloux de la relation qu’entretiennent Simon et Vallier ce qui va mener a plusieurs péripéties dont plusieurs personnages secondaires vont avoir une grande influence sur le dénouement de cette histoire.
Je n’ai pas aimé l’histoire que le roman raconte, mais plutôt la leçon que j’ai pu en tirer. En effet, Simon et Vallier représente la confrontation entre la Société et les gens qui ne sont pas apte à en faire partie, car ils sont diffèrent, c’est-à-dire homosexuel. Bilodeau n’est pas aussi courageux à ce sujet. Il a peur d’être rejeté par la société, car il est homosexuel. Dans le livre il représente ce que la société aurait voulu de lui, alors il devient évêque. Un évêque était, dans le temps, dans le top de la pyramide social. De plus, l’écriture était difficile à comprendre, car je n’étais pas habituer à ce type d’écriture : « des émotions qu'on peut avoir en dedans de nous autres. » Mais malgré tout, les différents styles d’écriture étaient très utiles, car il reflétait les conditions sociales des personnages. Je conseillerais se roman, car il s’avère être très éducatif malgré sont histoire hors du commun.