Question 1- Les dangers, les faiblesses et les possibilités de l’industrie du vêtement, en particulier du vêtement féminin, au Canada Il y a plusieurs dangers et faiblesses de l’industrie du vêtement, en particulier du vêtement féminin, au Canada, mais il y a également quelques possibilités. Une des possibilités de ce secteur est que le gouvernement canadien offre plusieurs opportunités pour les designers de mode d’aller représenter notre pays à divers événements. C’est ainsi qu’Angela Buraco a représenté le Canada à une exposition en Allemagne ainsi qu’au Salon de la Mode, au Mexique, en 1994. D’un point de vue plus statistique, le marché intérieur fut de 8.7 milliards de dollars en 1990, et a augmenté en moyenne de 4.4% depuis 1995. Les exportations ont dépassé 635 millions de dollars, par année. Donc les chiffres démontrent bien qu’il y a du potentiel dans ce secteur d’activité au Canada. C’est ainsi que l’industrie du vêtement est l’un des principaux employeurs non gouvernementaux au Canada, soit 91 000 employés pour 2 100 entreprises en 1991. Elle est même proclamée, par certains paliers gouvernementaux comme «industrie à potentiel élevé». Il y a également une opportunité grâce au réseau de sous-traitance dans les domaines de la coupe et de la couture, particulièrement important au Québec, en Estrie, principalement dans le secteur du vêtement féminin de haut de gamme. Il y a également la possibilité de s’installer pas trop loin des grandes villes comme Montréal, en Estrie par exemple. Cela permet de diminuer les coûts de production liés au salaire élevé des grandes villes, mais en n’étant pas trop loin pour des conférences, salon de la mode, rencontre avec des clients importants, etc. Bien qu’ils y aient plusieurs opportunités, l’industrie du vêtement au Canada apporte également sont lots de dangers et de faiblesses. Il est plus difficile pour un designer de percer dans le domaine dû au fort marché à New York et à Paris. Les manufacturiers n’ont ainsi