ADM1013Comportement humain et organisationTravail noté 1Travail noté Titre du travail (Pondération)■ Remplissez soigneusement cette feuille d’identité.■ Rédigez votre travail, en commençant à la page suivante.■ Sauvegardez votre travail de cette façon : SIGLEDUCOURS_TN1_VOTRENOM. ■ Utilisez le Dépôt des travaux pour acheminer votre travail à votre professeur ou son délégué. http://www.teluq.ca/mateluq/Feuille …afficher plus de contenu…

Elle passe la plupart de son temps à la maquiladora (usines situées dans des zones limitrophes des États-Unis et détenues par des entreprises étrangères afin de tirer avantage des lois propices aux échanges commerciaux et d’une main-d’œuvre peu coûteuse) située à Tijuana, mais elle s’occupe également d’une petite équipe administrative à Chula Vista, une ville située du côté américain de la frontière. ADM1013TRAVAIL NOTÉ 1Comportement humain et organisation Depuis le début, les relations entre les employés des deux côtés de la frontière et Angelica sont difficiles. Elle fait souvent face à un manque d’ouverture de leur part ; ses collègues américains se soucient très peu de ce qui se passe à Tijuana et ne voient …afficher plus de contenu…

Cependant, c’est le préjugé (opinions ou attitudes négatives entretenues envers une personne ou un groupe particulier) envers Angelica qui est problématique. En effet, les collègues d’Angelica ont une opinion défavorable d’elle. Ils considèrent Angelica comme une Américaine venue pour voler un emploi ; ce qui engendre de la résistance à son égard. Comme le mentionne Angelica : « J’ai découvert que mes collègues mexicaines, deux femmes qui travaillaient à la comptabilité depuis cinq ans, m’en voulaient. Ce qui m’a sauvé, c’est le fait d’être Américaine, parce que les femmes mexicaines considéraient les Américains comme supérieurs. Mais elles m’en voulaient de leur retirer une partie de leurs tâches. […] Je ne pouvais obtenir la moindre information de leur part. Elles m’en donnaient le moins possible, ne m’aidaient pas et critiquaient tout ce que je faisais dès que j’empiétais sur leur domaine. »