Aimer son prochain
- Quand les dix commandements ont été institués, les cinq premiers l’ont été pour rendre hommage, respect, adoration au souverain de l’univers, et les cinq autres l’ont été plus précisément pour régler et instituer des codes et règlements concernant la vie entre humains. - Les cinq commandements concernant les codes de conduite à respecter font appel de manière très explicite à l’amour de son prochain. En les appliquant de manière scrupuleuse, c’est là que va naitre un sentiment d’amour supérieur à l’amour que l’on se porte à soi même.
- Aimer son prochain comme soi même, c’est la règle d’or de Jésus, qui ramène les dix commandements de Moise à un seul, l’amour du prochain. Dieu à crée l’homme à son image, et il nous à dit «Aimons nous les uns, les autres », car l’amour vient de dieu, celui qui aime, est né de dieu, car dieu est amour, une personne sans amour ne peut se réclamer de dieu, car il lui est fait obligation de cultiver l’amour de son prochain.
- La difficulté d’appliquer ce commandement vient dans la multiplicité et la complexité des êtres humains représentant notre prochain. Qui est notre prochain ? En quoi est il difficile de l’aimer comme nous même ?
C’est la toute la difficulté, cette règle a pour adversaire l’égoisme et le souci exclusif de soi. L’amour doit il disparaître au profit d’un sentiment universel et non électif, car on ne choisit pas son prochain, il vient à l’improviste à notre rencontre. La difficulté vient de l’exigence de réciprocité dans le sentiment d’amour, ce que l’on désire pour soi, il faut le désirer pour autrui. Aimer son frère, son père sa mère où son ami, cela est relativement plus aisé et quasiment commun à tout le monde. La vrai difficulté est d’aller au-delà de cette considération et de reconsidérer tout être humain y compris les plus mauvais et ceux nous voulant du mal comme son prochain. C'est-à-dire faire de l’amour un devoir, mais