Analyse "fou comme une image" ralph dekoninck
Posset
6PAY
Analyse de l’essai : Fou comme une image, puissance et impuissance de nos idoles.
1. Plan général de l’essai.
Chapitre 1 ; « Idole et religion » : L’auteur commence par donner quelques définitions des mots comme « idolâtrie », « caricature ». Il compare les idoles à Dieu. Il exprime que c’est l’homme qui crée les idoles et donc que Dieu est une idole du peuple. L’Homme, depuis toujours, a voulu représenté une idole, mais Ralph Dekoninck explique qu’il ne voulait enfaite que représenté son reflet et donc il a pu faire dire ce qu’il voulait aux idoles. Or, dans ce chapitre nous comparons une idole à Dieu, de ce fait l’Homme fait dire ce qu’il veut aux divinités et par conséquent à Dieu. L’écrivain nous expose une thèse intéressante. Au début, il était interdit de représenter n’importe quel Dieu. Dans les religions monothéistes c’était même devenu interdit, de ce fait pour lui, l’Homme a créé des divinités tel que Jésus, Buddha ou encore Mahomet et c’est donc à partir de là qu’il a pu commencer a représenté « Dieu ». Il nous rappelle que l’image n’est pas sacré mais ce quel représente peut l’être. Pour finir il nous dit que l’idole n’est qu’un mot mais que notre rapport au monde calque notre réalité et notre esprit critique.
Chapitre 2 ; « Idole et Art » : Selon l’auteur, l’Art incite le peuple à idolâtrer les divinités et aussi de l’humain. L’Art a le pouvoir d’embellir la réalité, c’est un stimulant efficace pour créer la confusion entre l’image et son modèle d’origine. Au fil du temps, l’Art s’est vu retiré son culte. Une image peut être considérée comme sacrée mais, encore une fois, tout dépend du regard qu’on lui porte. L’auteur a utilisé une citation de Marcel Duchamp pour conclure son chapitre « Les regardeurs font les tableaux ».
Chapitre 3 ; « Idole et science » : Le chapitre trois, comme son nom l’indique, est beaucoup plus scientifique que les autres. Son point de vue est que, même dans la science tout est une question