Pagina 1 van 3 Nom de l’étudiant : Sophie Afonso Inacio – Gleim
Numéro d’étudiant : 4535286
Classe : 07_FR-MAS01
Nom du professeur : C.C.M. Woerkum
Matière : Littérature – Analyse littéraire
Date : 12-01-2022
Roman : Chapitre VI ‘L’Autodafé’ - Candide ou l’Optimisme - Voltaire Mon analyse littéraire se portera sur le chapitre VI, l’Autodafé, du conte philosophique « Candide ou l’Optimisme » de Voltaire. La version lue est celle de 1759. Le livre a été publié en 2015 par l’éditeur …afficher plus de contenu…

Quelques-uns de ces faits sont :
- La différence des classes sociales. Candide ne peut se marier avec Cunégonde car il n’appartient pas au même rang social que celle-ci.
- la guerre, dans le passage où Candide se retrouve engagé dans l’armée bulgare et assiste à un massacre entre les Bulgares et les Arabes.
- Le tremblement de terre de Lisbonne et le pouvoir des inquisiteurs qui pour quelconque raison appliquent l’Autodafé dont en sont victimes Pangloss et Candide.
- La conquête des Amériques, le pouvoir de la religion et la conversion au catholicisme. La découverte de l’El Dorado, le meilleur des mondes, mais où l’on se rend compte que l’argent n’est pas tout, qu’être parmi les siens et avec l’amour de sa vie est plus …afficher plus de contenu…

Ce conte philosophique m’a beaucoup plu car il retrace cette période de l’histoire dans laquelle Voltaire a vécu et critique subtilement le pouvoir et les mœurs que Voltaire déplore. L’ironie et parfois même la parodie permet de retirer la lourdeur des sujets présentés, comme l’esclavage. Le chapitre sur l’autodafé m’a marquée mais aussi intriguée. Cet acte est présenté d’une telle légèreté que le lecteur pourrait ne pas en remarquer l’horreur. C’est pourquoi j’ai voulu en faire l’analyse littéraire. Après avoir vu et entendu les horreurs de la guerre, Candide, accompagné du philosophe Pangloss, part pour Lisbonne. Le bateau fait naufrage devant les côtes du Portugal. Les deux protagonistes arrivent épuisés à Lisbonne où ils subissent le terrible tremblement de terre. On déplore la mort de trente