analyse litteraire tartuffe
Lors du Grand Siècle (17e s.), plusieurs œuvres contenaient des thèmes, des aspects de vie que la population vivait souvent dans le temps. La religion faisait principalement partie de ces œuvres. De même, dans l’œuvre Tartuffe écrit par Molière, lors de cette époque, on observe que la religion s’avère instrumentalisée. Cela est une vision qu’a Molière par rapport à cette époque. Certains personnages de cet œuvre ont un caractère de l’hypocrisie religieuse et l’utilisation de la dévotion, sont des éléments qui démontrent que la religion est un « outil » dans Tartuffe.
Tout d’abord, chaque personnage a son propre caractère, que l’on juge d’une certaine manière; qu’on le trouve bon ou mauvais. De même, dans Tartuffe, il y a certains personnages qui ont un caractère de l’hypocrisie religieuse. On peut observer que dans cet œuvre, Tartuffe a un caractère hypocrite bien qu’il a employé la dévotion pour se masquer et Mme Pernelle qui parle des défauts des autres sauf de Tartuffe, puisqu’il est dévot. Durant un passage, Dorine dit « Tartuffe? Il se porte à merveille, Gros et gras, le teint frais, et la bouche vermeille » (p.76 v.234). On peut observer une énumération et une allégorie dans cet extrait. On insiste sur ces éléments descriptifs pour voir de quoi a l’air Tartuffe. Bien qu’il prétend renoncer aux plaisirs de la vie, mais cela ne se voit pas physiquement. Il utilise la religion pour se masquer du fait qu’il n’a pas de bonnes intentions, mais physiquement, il n’a pas put se masquer. C’est aussi une allégorie, puisque cela intrigue le lecteur à saisir le sens caché, donc l’image vraie de Tartuffe, qui n’est simplement qu’un faux dévot. De plus, on voit que Mme Pernelle utilise d’une manière la religion pour juger le monde autour d’elle, qui est un élément de son caractère. « C’est un homme de bien, qu’il faut que l’on écoute; Et je ne puis souffrir sans me mettre en courroux De le voir