INTRODUCTION
Depuis le début de l’humanité, nous avons eu le malheur de pouvoir assister à plusieurs drames et événements tragiques comme des guerres incessantes qui ont causé la mort de milliers ou même de millions d’individus sur la surface du globe. Tatiana de Rosnay, une écrivaine française, s’est penchée sur un de ces événements, la rafle du Vélodrome d’Hiver survenu en juillet 1942 au cours de la Seconde Guerre Mondiale. Elle a écrit un roman à ce sujet qui s’intitule Elle s’appelait Sarah.

Après la lecture de ce livre qui raconte l’histoire d’une journaliste qui s’intéresse à la vie d’une fillette qui a perdu ses parents durant la rafle du Vel d’Hiv, j’ai été amené à me poser la question suivante : Comment l’environnement d’un individu peut-il influencer son évolution psychologique?

Dans les lignes qui suivent, je ferai l’analyse du roman Elle s’appelait Sarah. Celle-ci contiendra une courte biographie de l’auteur, Tatiana de Rosnay, et un résumé du roman. Ensuite je ferai la description psychologique de Julia Jarmond qui est le protagoniste du récit et l’analyse d’un thème principal du roman. Finalement, je parlerai de la rafle du Vel d’Hiv et je ferai la critique du roman.

Pour commencer, Tatiana de Rosnay est née le 28 septembre 1961 en France. Elle a vécu en France, à Paris et en Angleterre. Avant d’être écrivaine, elle a été attaché de presse, journaliste et critique littéraire. Elle est l’auteur d’une dizaine de romans écrits en anglais et en français dont Elle s’appelait Sarah qui lui a valu plusieurs prix dont le Prix des lecteurs du livre de Poche et le Prix Gabrielle d’Estrées. Les ventes de ce livre ont dépassé les deux millions d’exemplaires1. Ce roman l’a rendu célèbre dans le monde entier. C’est l’auteur français qui est le plus lu en Europe en 2011.

Ensuite, voici un court résumé de cet ouvrage. Julia Jarmond, journaliste française, doit écrire un article pour la commémoration du 60ième anniversaire du Vel