L’extrait présenté expose le bouleversement de la liberté d’un jeune chevreuil. En effet, un chevreuil quitte son chevreuil quitte son refuge pour la première fois, à la fin de l’hiver. Il désire profiter des nouveautés de la nature, à la lumière du jour. Le cervidé ne peut résister à l’envie de voyager dans les prés non visités, en parfaite liberté et inconscience. Il veut goûter à tout. Soudainement, il se fait atteindre d’une flèche, qui lui donne une leçon, à savoir que fuguer est dangereux. En fait, le comportement de ce chevreuil est celui d’un jeune homme en période d’adolescence. Son enfance disparaît, l’adolescent tombe amoureux grâce à un seul regard. Pour la première fois, il est séduit d’une manière beaucoup plus intense. Ce qui lui fait ressentir une blessure qui lui fait du bien.

Le poème << Comme un chevreuil…>> de Pierre de Ronsard explique l’atteinte mortelle de deux âmes. Cela, l’atteinte, établi le thème principal. Le texte exprime le plaisir de vivre d’un homme et d’un chevreuil. Voici deux mots révélateurs qui précisent le thème, <<liberté>>, vers numéro 9 et <<meurtrier>> vers numéro 10. L’homme et le cervidé ont une liberté incontournable nouvelle, ils peuvent enfin décidés de leurs propres choix. Dès que le chevreuil sort de son bois, il est condamné à mort. Pour le jeune homme, l’élément meurtrier est un regard d’une jeune femme qui le marque à jamais. Deux figures de styles sont frappantes dans ce poème. L’une est une dépersonnification, <<un œil […] tira […] mille traits>>, vers numéro 14. C’est cette figure de style, car l’œil indique qu’une demoiselle atteint l’homme en plein cœur. L’effet produit est que l’auteur utilise le mot << œil>> pour parler d’une femme et non d’un vrai œil. Cette figure de style souligne l’atteinte d’une âme ou bien des sentiments profonds d’un jeune homme. L’autre figure de style est une métaphore, << l’avril de mon âge>>, vers numéro