1e situation : Prélèvement sanguin et détresse morale et physique.
LIEU :
Hôpital de la Ciotat médecine A. activité réalise dans la chambre de la patiente.
SITUATION :
Le soin que je dois réaliser auprès de cette patiente relevé, (selon l’article R4311-735) du rôle prescrit par le médecin du service. En effets ce bilan a pour objectifs de surveiller le ionogramme du a une hypokaliémie, ainsi que le bilan complet : NFS, TP, car héparine 2µg, glycémie etc. Car depuis plusieurs semaines cette patiente présente un état de sante alarmants : vomissements, perte de poids important, refus total de s’alimenter et on ajoute la présence de plusieurs signes du décubitus prolonger, stase bronchique, constipation, ankylose etc. Malgré la lourder du traitement thérapeutique mis en place depuis un bout de temps.
L’infirmière me délègue le soin, cependant elle tient à m’assister pour pouvoir évaluer ma façon de faire.je prépare mon matérielle respecte les règles d’hygiène standard et je suis le protocole du soin. Ensuite je préviens la patiente du soi que je vais lui faire.
OBSERVATIONS, ETONNEMENTS :
Mon étonnement a été le poids de son discours après mes explications (vous venez encore me faire mal, ça ne vous a pas suffi pas ce que vous me faites depuis dans jours laisser moi partir tranquille, oh personne m’écoute).
En effets depuis des jours on persiste avec des traitements invasifs chez une patiente très algique malgré son patch de Durogesic 25µg. je la rassure et j’effectue mon prélèvement, car il faut le faire !!!
En sortant de la chambre, je regarde l’infirmière et je la questionne pour savoir si cette patiente est en fin de vie. Effectivement la réponse est oui, mais personne n’ ose faire venir l’équipe ambulatoire des soins palliatifs de l’hôpital qui peut confirmer la réalité et à voir un poids sur la décision des médecins.
Hors, cette devenais pesante pour l’équipe soignante, mais personne sensibiliser les médecins du service que forcement n’avaient pas la