Analyse de texte spleen iv
On baigne dans l’obscurité (« verse ») Cela introduit la prochaine strophe 2 strophe « la terre » => renvoie à un espace vaste qui ensuite se transforme en opposition à cet espace en un « cachot humide »en effet cachot renvoie a un enfermement dans un espace restreint ce qui peut faire penser que l’espace se réduit Cachot=> lieux obscure qui n’as pas de vision sur l’extérieur en plus d’être un lieu sombre et humide « espérance »=> évocation/retour du paysage intérieur l’espérance est comparé à un petit animal(chauve souris) qui cherche désespérément à s’échapper le mur vient renforcer encore une fois cette notion d’enfermement en plus du plafond qui vient affirmer une fois de plus ce « couvercle » évoqué plus tôt mais les tentatives de fuites de cet animal sont vaines …afficher plus de contenu…
Elles est trop faible pour s’enfuir « vaine » En plus de ses efforts vain ils sont douloureux => « cogner » l’espérance(chauve souris) est enfermé dans le spleen Baudelaire joue sur paysage intérieur et paysage extérieur La chauve souris n’y arrive pas => le spleen gagne 3éme strophe « quand la pluie étalant ses immenses traînes » la pluie se transforme en barreaux d’une vaste prison => rend la notion d’enfermement / dépression/oppression encore plus forte qu’avant le paysage se réduit , il devient une prison la pluie tombe drue-ment => la pluie semble esquissé des barreaux et « immense » souligne que cette pluie se prolonge presque à l’infini ou aucune issue n’est possible « cerveaux »=> retour au paysage interrieur « infâme araignée » => ici Bdlaire insiste sur le dégoût de cet animal ( qu’il soit aussi bien physique que psychologique) « peuple » => elles forment une unité puis « muet » souligne qu’elles viennent en silence et de manière vicieuse « tendre ses filets