Andrei makine l'identité de l'identité
Une d’entre elle est d’utiliser les genres pour définir un personnage. Par exemple : « Cette femme dont le châle dissimule les traits et l’âge » L. (4-5) Ou bien :« L'homme qui dort la tête renversée émet un long râle » L. (32-33) Une autre forme d’appellation générique utilise consiste à définir les citoyens par leurs fonctions. « A quelques pas d'elle, la prostituée, en train de négocier avec les soldats » L. (10-11) La fonction de prostituée et de soldat définit donc les individus en question. Ces personnages ne sont donc que des hommes, des femmes, des soldats ou des prostitués. En les plaçant ainsi dans des groupes ou des cases, l’auteur crée ainsi une masse où on ne peut différencier une femme d’une …afficher plus de contenu…
» L. (22-23) le fait que cette gare n’a aucune direction, montre l’isolation de la population envers l’extérieur qui deviens alors un néant inaccessible pour les citoyens. Donc, l’effort considérable développée par le narrateur montre que l’identité collective est bien ancrée dans cette société et qu’elle s’élargie dans espace pour créer ce vide ou néant. Ce néant est aussi créé grâce à l’isolement et la restriction de déplacent mis en place de Staline ce qui les coupe du reste du monde et le reste du monde leur est en un sens inconnu, inexistant.Le problème de l’identité transparait bien dans ce passage. En effet, Cette homogénéisation de la population qui créer une identité collective détruit l’identité individuel des