Anthologie sur l'absence
Ses torts sont disparus. Ses yeux priaient, sa bouche voulait plaire : Où fuyais-tu, ma timide colère ? Je ne sais plus. Je ne veux plus regarder ce que j'aime. Dès qu'il sourit, tous mes pleurs sont perdus. En vain, par force ou par douceur suprême, L'amour et lui veulent encore que j'aime ; Je ne veux plus. Je ne sais plus le fuir en son absence ; Tous mes serments alors sont …afficher plus de contenu…
Hélas ! quand les plaintes vaines Ont remplacé les désirs ; Quand ce qui fit mes plaisirs Désormais fera mes peines, Loin d'accuser de froideur Mon silence sur vos