Argumentation: le rer bruxellois
A ce jour, il existe en périphérie de Bruxelles, une zone urbaine, appelée « Zone RER ». Elle est étendue dans un rayon de 30km autour de la capitale et comporte 135 communes. Cette zone est principalement habitées de personnes ayant quitté, ou travaillant à Bruxelles. Celles-ci, pour se rendre à leur travaille, utilisent souvent la voiture, ce qui est un problème, à la fois pour le trafic routier mais également pour l’environnement. Pour ce faire, un gros projet, « le projet RER » a été lancé en vue de promouvoir les transports en communs et ainsi tenter de réduire les nuisances causées, chaque jour, par des millions de travailleurs. Dès lors, nous pouvons nous demander pourquoi quitter la capitale pour la zone RER ? Ou encore, quelles sont les conséquences de cette cohorte de voitures vers Bruxelles, chaque jour ? Quel est le rôle du « projet RER », est-ce une fin en sois ? Et enfin, quelles pourraient être les solutions adéquates pour limiter les inconvénients liés à la zone RER ?
Premièrement, depuis les années 70, la population de Bruxelles diminue au profit de des zones périphériques. Cette diminution est principalement due à l’essor de l’industrie automobile ainsi que l’importance croissante que les citoyens accordent à leur qualité de vie. En effet, on peut remarquer que vivre à Bruxelles, peut comporter pas mal de nuisances. Le bruit qu’engendrent les voitures, les trains, les trams, etc. Les tracas quotidiens, comme celui de trouver une place où se garer quand on revient du boulot. Mais encore, la pollution que toutes les activités qu’une grande ville peut générée. Dans ces cas, on comprend aisément que certaines personnes cherchent le grand air, la tranquillité.
Néanmoins, on constate que Bruxelles est la première zone d’emplois en Belgique, et cela pèse beaucoup sur la mobilité aux abords et au sein de la grande ville, car un emploi sur deux est exercé par un non-bruxellois. Ceci implique qu’un