Arias, les caractères de la bruyere
Parcours : Pensée et imagination Intro=
(Amorce) Au XVIIe s, le classicisme est un mouvement littéraire et culturel s’oppose au mouvement baroque. Il a pour objectif de plaire (placere), émouvoir (movere), instruire (docere). Elle transmet une morale, explicite ou implicite, et rechercher le naturel. On le relie à la monarchie absolue de droit divin de Louis XIV, qui parait étouffante à certains artistes qui …afficher plus de contenu…
insolemment
- 4ème, coup de théâtre qui fait taire Arias
1er mouvement=
- « Arias a tout lu, a tout vu » point de vue d’Arias, connait tout
- « Il veut le persuader ainsi », point de vu ironique la Bruyère
- « , », Parataxe, phrases juxtaposées mais sans connecteur logique, permet d’avoir un lecteur actif qui cherche à créer le lien entre les phrases
- Occupe l’espace de parole, phrase longue,
- « Il aime mieux mentir que de se taire ou de paraitre ignorer quelque chose », l’avie de la Bruyère sur le personnage, difficile d’admettre ses tords
- Parole de La Bruyère : discours indirect - Accumulation de verbe d’actions
- « Il », pronom personnel, anaphore, renforce l’abondance de parole d’Arias, parle trop vite beaucoup
- Abondance de point-virgule, …afficher plus de contenu…
- « Il reprenait le fil de sa narration », imparfait, marque la durée, parle un certain temps
- « Avec plus de confiance qu’il ne l’avait commencée », mal à imaginer qu’il puisse l’être plus - « C’est Sethon », Arias peut être troublée
- « Lui-même », insiste sur son identité
- Dès « Sethon », parole d’Arias sont ruiné et mensonge
- « Qui arrive de son ambassade » enfonce le couteau, le met mal à alise
- Sethon peut affirmer son identité, opposition à Arias, une des règles de l’honnête homme, ne pas mentir sur son identité
- Tout l’étendue des mensonges est révélée,
- Aucun ajout, texte finit sur la parole
- Pas de morale, si la morale avait été rajouté cela aurait été redondent, laisse le lecteur jugé du comportement d’Arias, lecteur en tire une conclusion lui-