audit
L'audit constitue un outil d'amélioration continue, car il permet de faire le point sur l'existant afin d'en dégager les points faibles et/ou non conformes (suivant les référentiels d'audit). Ce constat, nécessairement formalisé sous forme de rapport écrit permet de mener par la suite les actions adéquates dans le but de corriger les écarts et dysfonctionnements constatés.
Les auditeurs se réfèrent, entre autres, à la norme ISO 19011 (en) qui traite de la technique de l'audit et des compétences requises de l'auditeur. Les auditeurs externes légaux s'appuient pour leurs contrôles sur des référentiels comptables, nationaux et/ou transnationaux et sur des principes de contrôle interne.Audit (anglicisme issu d'une locution latine proche des notions de contrôle, vérification, expertise, évaluation, etc.) vient du verbe latin audire, écouter. Les Romains employaient ce terme pour désigner un contrôle au nom de l’empereur sur la gestion des provinces[réf. nécessaire]. Il fut introduit par les Anglo-Saxons au début du xiiie siècle pour la gestion[réf. nécessaire]. Le premier cabinet d’audit fut fondé au xive siècle à Londres[réf. nécessaire]. Une longue tradition de l'audit public ("Cour des Comptes") existe en France depuis le xiiie siècle.
En 1953, H.R. Bowen publie « Social responsibilities of the businessman ». C'est lors de la rédaction de cet ouvrage qu'il parlera de la doctrine de la responsabilité sociale qui doit être envisagée comme un moyen pour orienter l’activité des entreprises vers l’atteinte des objectifs que la société civile s’est fixée. Il définit la responsabilité sociale de l’entrepreneur dès le début de l’ouvrage: « La responsabilité sociale renvoie aux obligations de l’homme d’affaire de poursuivre