Fiche de lecture

1. “Lady Sings the Blues” est un titre qui illustre très bien l’histoire : Une femme avec le pseudonyme « Lady » qui adore chanter du jazz. La première de couverture est aussi très bien choisit car on aperçoit une image en blanc et noir de « Lady » entrain de chanter. Je n’aurai pu rien trouver de mieux que cette première de couverture et ce titre car avec tous ces éléments on peut bien s’imaginer de quoi l’histoire va nous parler. Mais aussi, car « Lady Sings the Blues » est le nom d’une des chansons qu’elle interprétait, écrite par le pianiste de jazz « Herbie Nichols » et elle-même paru dans l’album de Holiday en 1956.
Le genre de l’œuvre est autobiographique car tous les faits racontés sont inspirés de la douloureuse et triste vie de l’auteur « Billie Holiday » pour enfin arriver à être la voix la plus emblématique de la musique noire américaine. L’auteur de ce merveilleux roman est Eleanora Fagan, dit Billie Holiday ou « Lady » (nom donné par son amis saxophoniste « Lester ») considérée comme l’une des plus grandes chanteuses américaines de jazz, née à Baltimore le 7 avril 1915 et morte à New York le 17 juillet 1959 à cause d’abus d’alcool et de stupéfiant.

2. Billie Holiday est née d’un père (Clarence Holiday) de dix-huit ans et d’une mère (Sadie Fagan) de seize ans. Son père ne reconnaît pas l’enfant, en laissant Sadie et Billie toute seules. Á partir de 1933, « John Hammond » producteur de Columbia découvre Billie dans un club où elle chante par hasard et fait preuve de son talent. Les années passent et Billie commencent à avoir un nom et un immense succès, malgré le racisme de l’époque. Mais c’est après la mort de ses parents que les choses se compliquent et qu’elle va commencer à consommer de l’alcool et des stupéfiants, ce qui va entraîner plusieurs procès et une mauvaise réputation.

3. Billie Holiday est une femme noire d’une forte personnalité, avec une voix mélodieuse et un corps parfait, mais avec un