Biographie diderot
Enjeux : • Le langage oral On note une utilisation du pronom personnel « Je » (l.1) ainsi que le pronom personnel «moi » , des tournures typique de l’oral qui démontre de nombreuses répétition « la campagne » , « la » , « la maison » , « n’y » , (l.4) « la guerre » , « en plus » , « le colonel » , « c’était ». A travers c’est exemples, on note une modification de l’ordre des mots typiques d’un langage oral. Les expressions (l.19), la suppression de la n négation « j’ai jamais pu, c’est a y pas tenir ».Par ailleurs , le narrateur s’exprime comme s’il s’adressait directement au lecteur par les importances des modalités exclamatives et interrogatives (l.1) « faut que je le dise tout de suite », de nombreuses aposiopèse ( phrases non terminé « .. ») ce qui est une façon typiquement orale de marquer sa terreur, un parataxe ( absence de liens de coordinations ou de subordinations entre les groupes de mots et les phrases) « moi d’abord …n’y sont jamais » (l.13) , « a présent j’en étais assuré , pire qu’un chien ». Le passage (l.19-25) « avec casques...vicieux » ; (l.7-8) « milles morts, on s’en trouvait comme habillés. Je n’osais plus remuer » , les phrases nominale « un , deux , plusieurs millions peut-être » , le lexique et les expressions familières . • Un style néanmoins littéraire On remarque un lexique soutenu, le travail important sur le rythme (l.19-25), énumération qui repose sur la cadence majeure, gradation ascendante. Il y a déplus une longue accumulation au rythme saccadé (cf. les longues allitérations en « c » produise une impression d’essoufflement qui permet de mettre en évidence un chaos généralisé et terrifiant, une montée en puissance de l’horreur (l.30-31) L’emploie de la cadence mineure, accentue le climat d’horreur et traduit l’idée de précipitation des évènements , de fin de mort qui approche Céline choisit une apparente négligente dans la langue de son narrateur qui revendique sa