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Il sagis de « une charogne, spleen, hymne à la beauté ». Nous allons déterminer comment Baudelaire redéfinit les critères du Beau. Pour cela nous allons parler de la laideur phisique puis de la laideur morale enfin nous allons finir par parler de la sublimation de la laideur.
Donc dans un premier temps analysons la laideur phisique decrit dans ces poèmes.
Il y a une description obscène. Dans « Une Charogne » 5ème quatrain on peu lire « Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride » «ou encore « D’où sortaient de noirs bataillons » « De larves qui coulaient comme un épais liquide » « Le long de ces vivants haillons »
On remarque aussi des images poétiques habituellement associées à la laideur. Toujours dans « une charogne » v. 37-38 « Et pourtant vous serez semblable à cette ordure/ A cette horrible infection »
Ou encore dans « spleen » je cite « Quand la terre est changée en un cachot humide/ Où l’Espérance, comme une chauve-souris/ S’en va battant les murs de son aile timide/ Et se cognant la tête à des plafonds pourris » mais il y en a aussi dans « Hymne à la Beauté » v19-20 « L’amoureux pantelant incliné sur sa belle/ A l’air d’un moribond caressant son tombeau »
Parlons a présent de la laideur morale.
On remarque un processus immoral de séduction. Dans « Une Charogne » dans le dernier quatrain: « Alors, ô ma beauté, dites à la vermine/ Qui vous mangera de baisers/ Que j’ai gardé la forme et l’essence divine/ De mes amours décomposés » Il y a aussi une exploration de