Britannicus
En conclusion, nous avons constaté le double duel engagé par Néron à la scène deux, de l’acte deux. En effet, un premier duel prend naissance entre Néron et Britannicus. Ceci est causé par l’enlèvement de Junie par Néron et Narcisse. Britannicus est alors jaloux car il est passionnément amoureux de Junie. Néron le devient par la suite et un triangle amoureux est formé.
Aussi, un autre duel est celui entre Agrippine et Néron. Le conflit est en lien directe avec le choix que prend Néron, celui de répudier la femme avec qui avec qui Agrippine l’avait forcé d’être et à sa volonté de s’émanciper de sa mère.
Le but de Jean Racine est en tout premier lieu d’instruire les spectateurs à l’aide contre-exemple à ne pas suivre. La moral de cette pièce est que lorsque nous possédons de grand pouvoir, nous avons de grande responsabilité et ceci peut amener de grand problème. La passion peut parfois mener à la mort, nous devons donc se fier à notre raison avant tout.
Cette scène me fait penser au dernier film de Batman. Il y à également une moral concernant la passion et un triangle amoureux. Batman ne vit que pour protéger sa ville et en perd la raison. Il ne veut pas prendre de décision qui pourrait sembler méchante mais ceci mène quasiment à sa fin. La différence est que le film de Batman fini bien parce que un autre facteur, l’arrivé des policiers, vient le sauver. Les policiers prennent alors la décision que Batman ne voulait prendre. Bref, dans les deux histoires la passion est plus forte que la raison et la moral que nous pouvons retenir est que parfois en étant épargnant quelqu’un, on mène à la mort d’un autre.