La littérature se divise en catégories selon une logique temporel : on a la littérature de consentement et la littérature de dissidence. Leur différence réside dans l’utilisation du romanesque. Dans la première le roman dépeint un monde imaginaire, la seconde développe l’idée de créer un monde à l’image de la perfection divine.

Le roman peut-être considéré comme vil car il est mensonger, mais il peut aussi être considérer comme un échappatoire notre monde
Pourquoi ? L’explication vient du fait que l’homme cherche à se détacher du monde car il le trouve imparfait mais il ne cherche pas à s’en défaire définitivement. Nous cherchons à posséder le monde dans sa globalité grâce à la connaissance.

Il en découle que chacun de nous envie son prochain. Nous idéalisons la vie des autres parce que nous croyons que leur vie est mieux que la nôtre. Nous cherchons à posséder tous les éléments de notre vie et selon notre manière de concevoir la vie, tout ce que nous ne possédons pas ou plus est voué au malheur. Malheureusement rien ni personne ne nous appartient et réciproquement. L’homme cherche l’équilibre en établissant des « limites ».

Nous cherchons donc l’unification de notre monde. Elle se base sur le sens que nous pouvons donner à notre vie à travers cette unité afin de prétendre à un monde meilleur.
Le roman est ce monde où la vie prend forme. Le monde romanesque est identique au nôtre mais les personnages un destin achevé. Le romanesque développe une logique de continuité comme dans les Pléiades de Gobineau où casimir choisit de vivre à vilna jusqu'à sa mort. Aucun homme n’agirait comme casimir. Le romanesque cherche la durabilité, pour parvenir à la finalité du destin.

L’étude de cas du roman américain et proustien montre que le roman défend le sentiment nostalgique et celui de révolte.
Le roman américain dépeint les hommes dans leur banalité extrême, de l’extérieur. Cette vision romanesque nie la réalité individuelle de l’homme, mais cet homme