La Satire et l’Ironie de Candide, Voltaire

Candide est un roman écrit par Voltaire en 1759, qui est une fiction assez courte. L’auteur utilise beaucoup l’ironie et la satire pour montrer l’injustice de l’époque sur l’organisation sociale et religieuse. Ce roman retrace la vie de Candide.

Dans ce livre, Voltaire se moque de beaucoup de sujet mais en particulier de l’armée, au chapitre troisième par exemple il y a le passage très connu de la guerre. D’abord il présente la guerre comme quelque chose de beau, favorable, une impression positive « […] si beau, si leste, si brillant, si bien ordonnée que les deux armées », il met en valeur les armées. Après donc commence la guerre, entre chaque armes utilisées il y a un mot de liaison d’abord, ensuite, aussi, cela montre la progression de la guerre, et surtout celle des morts plus la bataille avance plus les morts sont nombreux « […] ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins […] », « […] de quelques milliers d’hommes. ». La phrase, « Candide, tremblait comme un philosophe » et moqueuse a l’égard des philosophes, cela montre sont aveuglement au milieu des massacres. Voltaire veux nous faire voir la belle apparence de la guerre, mais surtout nous faire comprendre tout le contraire, quelque part quelque chose de horrible. « Une boucherie héroïque » qu’il nous montre ironiquement comme un spectacle. Un humour noir, il nous décrit toutes ces horreurs comme si cela était normal « Ici des vieillards criblés de coups regardaient mourir leurs femmes égorgées, qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes ; là des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros ». Nous pouvons aussi constater au chapitre vingt-troisième, la mort de l’amiral plutôt ambigu, il doit mourir « […] parce qu’il n’a pas fait tuer assez de monde […] » une raison peu banale de nos jours pour une mort. Voltaire fais référence a la mort de l’amiral John Byng. Vaincu en 1757, il fut