Au XVIIIe, l’aristocratie domine l’Ancien Régime politique jusqu’à la Révolution française de 1789. Durant c’est années, plusieurs poètes et romanciers ont réussi à se rendre célèbre grâce à leurs œuvres. Un parmi ceux-ci a réussi à se rendre célèbre par la qualité de ses nombreux œuvres. Voltaire (1694-1778), ayant comme réel nom François-Marie Arouet, est aussi connu comme étant l’écrivain-phare du XVIIIe siècle. Il réussi à se faire valoir par ses textes sensationnels même s’il n’a pas connu une enfance facile. Dans le roman Candide, Voltaire se promène son personnage de pays en pays, devient riche et se fait voler. Un des pays visité par le personnage, Eldorado, un pays idéal sur plusieurs aspects mais est aussi irréel. L’Eldorado est un monde irréel car les valeurs fiduciaires n’existent pas mais il en est aussi un pays idéal par sa société basé sur le respect et l’égalité.

D’abord, l’Eldorado est un monde irréel car les valeurs fiduciaires n’existent pas. D’une part, ce monde est fictif car il n’y a aucunes valeurs matérielles : « On servit quatre potages garnis chacun de deux perroquets, un contour bouilli qui pesait deux cents livres, deux singes rôtis d’un goût excellent, trois cents colibris dans un plat, et six cents oiseaux-mouches […] ; le tout dans des plats d’une espèce de cristal de roche ». Ici, l’utilisation d’une hyperbole intensifie en montrant à point l’hôtellerie n’a aucun sentiment envers la valeur réelle des objets. D’autre part, n’ayant pas de valeur monétaire, cela est une autre caractéristique de l’irréalisme de ce pays :

« Quand le repas fut fini, Cacambo crut, ainsi que Candide, bien payer son écot en jetant sur la table de l’hôte deux de ces larges pièces d’or qu’il avait ramassées ; […]
Pardonnez-nous si nous nous sommes mis à rire quand vous nous avez offert en payement les cailloux de nos grands chemins. »
Avec cette métaphore, l’hôte de l’hôtel compare des pièces d’or à de simples cailloux qui compose les chemins