Candide ou l’optimisme Conclusion
Voltaire
1759

Objectif : L’épilogue d’un conte philosophique
Problématique :
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Quel est le sens de cette morale ?
Au début du texte, Candide est face à deux personnages qui sont des gens sages et qui dans les deux vont donner la même leçon : ne pas s’intéresser à ce qui se passe autour de soi et vivre de manière simple dans un univers limité et sur lequel on peut avoir une certaine maitrise.
C’est ce qui va conduire Candide a prendre une décision qui va engager la vie de toute la petite communauté. C’est restreindre ses ambitions, gérer la petite métairie et de se contenter de n’être pas trop mal à défaut de n’être raiment bien. Il va décider de vivre pratiquement en autarcie er de créer une sorte de microcosme dans lequel chacun va trouver sa place et son équilibre.
L’épilogue comporte beaucoup d’analogie avec la situation initiale du conte puisqu’on peut établir une correspondance entre le château et la métairie.
Le lecteur peut mesurer le chemin parcouru par les deux personnages et voir s’ils ont évolués ou s’il y a eu stagnation.
Candide a muri par l’expérience de manière autonome : philosophe qui fait tout passer par l’expérience : empirique, empirisme.
On a un intermédiaire de vie mais aussi philosophique. Une opposition entre la parole inutiles et l’action productive (parallèle avec Rabelais : dans Gargantua, il montre que l’homme doit agir pour former son destin).
Les enseignements qui sont donné ici sont relatifs à une certaine forme de sagesse.
C’est une morale qui manque d’enthousiasme mais qui rend la vie supportable. Cet épilogue est une étape intermédiaire dans une réflexion sur le monde et le mal. Le fait de savoir relativiser c’est une de démarches de la pensée des lumières. I. Les deux rencontres

a) Le derviche
Elle a une forme imagée. Une sorte de parabole qui illustre la relation entre Dieu et les hommes. Une rencontre avec un jeu de