Candide
(Il y avait dans le voisinage, un derviche très fameux (…) le travail éloigne de nous trois grands maux, l’ennui, le vice et le besoin)
INTRODUCTION PREAMBULE
Pourquoi recourir au derviche ? SITUATION INTERETS / PLAN
Montrer comment sont rejetées, disqualifiées les « convulsions de l’inquiétude » métaphysique et la « léthargie de l’ennui » (propos de Martin quelques lignes avant l’extrait à commenter) sans pour autant que soit délivrée la « conclusion » finale.
I. LA CONSULTATION DU DERVICHE
Comment sont disqualifiées les « convulsions de l’inquiétude » métaphysique
PAROLE ET PARABOLE
A la parole de Pangloss s’oppose la parabole du derviche. Le discours des personnages
Pangloss / Candide / le derviche Les « souris du derviche » : sens de la parabole La question de la Providence La négation du providentialisme
LECONS ET SOLUTIONS « Que faut-il donc faire ? » Le rejet des interrogations métaphysiques
II. LA RENCONTRE AVEC LE BON VIEILLARD
Le rejet conjoint des « convulsions de l’inquiétude » métaphysique et de la « léthargie de l’ennui » UNE CHRONOLOGIE QUI FAIT SENS LA LECON DE L’EXPERIENCE : L’EMPIRISME CONTRE L’APRIORISME Le discours des personnages
Pangloss / Candide / Le bon vieillard Sens de l’épisode La couleur orientale
« LE TRAVAIL ELOIGNE DE NOUS TROIS GRANDS MAUX »
Sens de la formule
III. EN FIN DE COMPTE LE DERVICHE ET LE BON VIEILLARD NE SAURAIENT SIGNIFIER LA FIN DU CONTE
UNE DOUBLE PARABOLE
CONVERGENCE DES LECONS La vertu du silence / la vertu de l’expérience Une même indifférence sur le fond Sur la forme : brutalité / urbanité
UNE CONCLUSION PROVISOIRE
Candide , chap. 30 (second extrait)
« Candide, en retournant dans sa métairie (…) il faut cultiver notre jardin »
I.LA MISE A MORT DU CULTE DE L’OPTIMISME. LA MANIE DE LA PENSEE THEORIQUE