Cannibalisme dans l'anthropologie

3186 mots 13 pages
CannibalismeQui :Tribu Tupinamba, située le long du littoral brésilien au XVIe siècleQuoi :Exo-cannibalisme ou cannibalisme de guerre : consommation de ses ennemis.Comment :Capturer des ennemis qui vivent librement pendant des mois ou des années dans la communauté.Déroulement :Cérémonie ritualisée au cours de laquelle le captif est tué dans un simulacre de combat puis dépecé et mangé par les membres de la tribu.Objectif :Renforcer les liens entre les membres de la communauté : hommes, femmes, enfant …afficher plus de contenu…

C L’apport fondamental des anthropologues français… et des autres paysLa question des techniques a surtout été mis en valeur en France :Mauss l’a considéré comme un axe essentiel de l’ethnologie : il a même avancé l’idée que la technique au XXe siècle a remplacé l’économie en tant que facteur déterminant de la transformation des sociétés.Ensuite André-Georges Haudricourt, proche de Mauss, en fait un de ses champs de recherches privilégiés.C’est surtout André Leroi-Gourhan qui est le seul à reprendre à la base la question de la technique.Pourtant, progressivement, l’anthropologie délaissé cette question technique qui devient secondaire dans les études anthropologiques.Importance d’une approche anthropologique de la technique dans ses rapports avec un groupe humain et ses structures sociopolitiques et économiques.Technique est un aspect essentiel de toute organisation sociale.Autres pays :Grande-Bretagne : courant fonctionnaliste va dominer les travaux de Malinowski et de …afficher plus de contenu…

Sonner la cloche pour que les chiens aboient et que les hôtes sachent que quelqu’un arriveEntrer et se diriger droit vers la porte de la maison pour être reconnu et identifier.S’arrêter sur le seuil et attendre que la maîtresse de maison vienne ouvrirRefuser deux fois de suite d’entrer dans la maison alors qu’on vous y invite et accepter la troisième foisSe présenter devant le maître de maison et accepter de s’asseoir à la troisième demandeL'une des raisons les plus fréquentes est la naturalisation des activités : elles sont considérées comme la conséquence de rapports « naturels » de genres, d’autorité, de comportement « spontanés » voire « innés » alors qu'il s’agit toujours d'assimilations, de conditionnements ou d'apprentissages précoces.Bien entendu, les codes de politesse différent selon les pays et les culturesFait rapporté en Nouvelle-Calédonie à la fin du XIXe s.Un gouverneur français rend visite à un chef kanakDès que gouverneur entre, le chef s’assit

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